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Biographies et bibliographieJournaux, mémoires, souvenirs et correspondances privéesL'impopularité de la ReineMarie-Antoinette aujourd'hui

Démantèlement d’un brûlot : « Une vie secrète » de Sophie Herfort

 

Dans le but d’illustrer les conflits idéologiques, psychologiques et historiques auxquels Olivia et moi sommes confrontés de par notre passion pour Marie-Antoinette, sinon depuis toujours, du moins depuis que nous fréquentons la toile, voici une joute verbale, entre l’autrice, Sophie Herfort et nous. 

Est présenté ici l’ensemble du débat effectué sur la page Facebook Rois et Reines de France

https://www.facebook.com/groups/312510649858127/search/?q=herfort

J’ai scrupuleusement retranscrit les débats en conservant l’orthographe de chacun. 

« Souvenez-vous qu’on n’emploiera pas un grain de poison contre moi . Les Brinvilliers ne sont pas de ce siècle-ci: on a la calomnie qui vaut beaucoup mieux pour tuer les gens ; et c’est par elle qu’on me fera périr. « 

Marie-Antoinette à Henriette Campan

 

Notre exercice, dans le présent débat est de ne pas permettre à Sophie Herfort d’assassiner à nouveau Marie-Antoinette !

 

Le 6 mai 2021

 

 

Le 7 mai 2021

Le 7 mai 2021

 

Marie-Rose Demasy Sauf que le tableau n’a rien à voir avec Marie-Antoinette.

 

Jacqueline Herfort Et…

 

Marie-Rose Demasy Et c’est encore une vision primesautière qui nous éloigne de la vie réelle de Marie-Antoinette, celle qu’on retrouve dans ses lettres à sa mère ou ses billets à Mercy.

Jacqueline Herfort peut être que sa vie réelle n ‘est pas celle que l’ on connaît.

 

Marie-Rose Demasy Marie-Antoinette elle-même décrit des scènes et des situations… qui n’ont rien à voir avec la jeune reine libérée des films et autres productions modernes. Alors, non, cette couverture ne me donne pas du tout envie d’acquérir cet énième vision fantasmée.

 

Jacqueline Herfort le contenu du livre est peut être plus important.. Et qu’en savez vous s’il n’y a pas un lien subtil..

 

Marie-Rose Demasy Entre quoi et quoi ?

 

Jacqueline Herfort La couverture traduit à merveille l’esprit d’insouciance de Marie Antoinette. Il n’est pas nécessaire de faire figurer un de ses nombreux portraits ou autres. La jeune fille à l’escarpolette nous rappelle que Marie Antoinette appréciait ce jeu.

 

Patrick Andrieu à Marie-Rose Demasy excepté que Fragonard était contemporain de Marie-Antoinette et, que l’escarpolette était très à la mode à cette époque et que sa Majesté en possédait une (ou plusieurs) dans son Hameau dit le Hameau de la Reine, petit village de style normand, dépendance du petit Trianon. En vous priant bien de m’excuser, il n’y a absolument rien de désinvolte, ni d’insouciant ou autre à faire de la balançoire qui fait encore le bonheur des petits, des moins grands et des grands encore de nos jours…Respectueusement.

 

Marie-Rose Demasy à Patrick Andrieu Pouvez-vous citer les sources qui mentionnent la présence d’une escarpolette au hameau ? Merci d’avance.

 

Deux semaines plus tard on attend encore…

 

Patrick Andrieu La couverture, – L’ escarpolette – de Fragonard, superbe œuvre, et bien choisie pour couverture, fervent d’histoire, j’ai hâte de me procurer ce livre. Un bonjour à tous les passionnés d’histoire 

Marie-Rose Demasy à Patrick Andrieu Vous avez des sources mentionnant Marie-Antoinette sur une escarpolette ? Merci d’avance.

Patrick Andrieu à Marie-Rose Demasy , oui, certainement, sur une dépendance du petit Trianon appelé le Hameau de la Reine; était installée près de la demeure principale, celle de sa Majesté, une escarpolette où elle et ses enfants se balançaient, distraction très à la mode pour ces Dames de la Reine. Respectueusement. Bonne journée.

Le 8 mai 2021

Marie-Rose Demasy à Patrick Andrieu Pouvez-vous citer la source de cette affirmation ? Merci d’avance.

Benjamin Warlop, le film de Jean Delannoy sans doute… ou celui de Jacques Demy ! ?

Marie-Antoinette à l’escarpolette, avec Catriona MacColl en lady Oscar, Christine Böhm en Marie-Antoinette et Sue Loyd en madame de Polignac, film Lady Oscar de Jacques Demy, 1979

Benjamin Warlop à Patrick Andrieu ,Marie-Rose Demasy et moi attendons toujours vos sources quant à l’escarpolette… que vous voulez voir à l’époque de Marie-Antoinette. Merci d’avance !

Jacqueline Herfort Pourquoi une fixette, Simplement sur l’escarpolette ?Merci encore pour votre intérêt concernant ce livre même si vous ne le lisez pas, le fait d’en parler fait de vous une excellente attachée de presse. ?

Marie-Laure Daudet Frago. Rien à voir avec Marie Antoinette.

Jacqueline Herfort à Marie-Laure Daudet c’est une image qui semble avoir un lien avec sa vie. Un bon lecteur ne juge pas sur une couverture de livre.

Patrick Andrieu Et pour Madame Daud. , ce n’est pas (Frago.) , mais, Fragonard, ensuite le rapport est de par le tableau, la même époque tout simplement d’où le choix de la couverture du livre. Respectueusement .Bonne journée

Benjamin Warlop à Patrick Andrieu , Fragonard convient à Madame du Barry… Ce n’est pas le représentant de l’époque de Marie-Antoinette ?

Patrick Andrieu À mon humble avis, le choix de cette 1ère de couverture, est un bon choix et ne reflète en rien un ou des traits interprétés négativement sur la vie d’une Reine d’autant plus qu’elle n’est pas représentée dans cette belle œuvre de Fragonard. Respectueusement.

Marie-Rose Demasy à Patrick Andrieu Donc une œuvre qui ne représente pas Marie-Antoinette, qui n’est même pas de la main d’un de ses peintres… voilà qui semble annoncer plus de désinvolture que de sérieux dans l’étude.

Le 9 mai 2021

Benjamin Warlop à Marie-Rose, ce que semble avoir admis Jacqueline Herfort en concluant: »Un bon lecteur ne juge pas sur une couverture de livre. » Seulement, je doute d’être surpris en bien….

Jacqueline Herfort à Benjamin Warlop propos décousus.. .

Benjamin Warlop à Jacqueline Herfort , mais encore? Au cas où votre critique concerne encore les propos de votre fille que j’ai cités…Vous auriez dû lui dire combien, par exemple, sa conception du règne de Louis XV est décousue. Cela aurait pu l’aider à considérer ce siècle qu’elle découvrait de manière moins… touristique ?

Jacqueline Herfort à Benjamin Warlop Fragonard a peint l’escarpolette entre 1767 et 1769.Il est né en 1732 et décédé en 1806.Donc parfaitement d’époque avec la Reine née en 1755 et décédée en 1793.

Benjamin Warlop à Jacqueline Herfort , c’est bien ce que je dis : 1769 est l’année d’arrivée à la cour de Jeanne du Barry. Marie-Antoinette y arrive en 1770 et Elle ne sera artistiquement active qu’en 1774, à la mort de Louis XV.

Le 10 mai 2021

Marie-Rose Demasy à Jacqueline Herfort Pas question de perdre de l’argent dans ce genre de lectures. Je recommande à tous ceux qui s’intéressent à Marie-Antoinette les ouvrages de Simone Bertière, Catriona Seth, Elena Mariia Vidal, Cécile Berly… bref, les vrais spécialistes ne manquent pas.

Jacqueline Herfort les bons lecteurs jugeront après avoir lu le livre. Et ils feront ce que bon leur semble. Comme je disais la meilleure façon de faire vivre un livre c’est d’en parler. Encore une fois merci pour votre intérêt concernant Marie Antoinette.

Marie-Rose Demasy Mon ami Benjamin, spécialiste de Marie-Antoinette depuis de longues années, s’est dévoué pour nous. Je salue son courage, car il lui en a fallu pour lire ces inepties truffées d’erreurs inqualifiables !

Jacqueline Herfort à Marie-Rose Demasy vous ne lisez pas donc. Dommage..

Marie-Rose Demasy à Jacqueline Herfort Je lis toutes les études dignes de ce nom sur Marie-Antoinette. Donc, en effet, pas ce torchon bourré d’erreurs.

Jacqueline Herfort n’ayant pas lu ce livre fort intéressant et reposant sur des faits vérifiés vous ne pouvez pas émettre d’avis.

Le 11 mai 2021

Marie-Rose Demasy Sophie Herfort Vous confirmez donc sans sources à l’appui ? Un comportement qui ne donne vraiment pas envie de lire votre livre.

Jacqueline Herfort à Benjamin Warlop je confirme je ne suis pas auteur mais une lectrice. Quand je choisis un livre je regarde la 1ère de couv mais ce qui m’attire c’est ce qu’il y a dans le livre soit son contenu plus précisément . Mais merci de parler du livre,

Benjamin Warlop à Jacqueline Herfort vous devriez offrir à votre fille , « Marie-Antoinette , l’Insoumise » de Simone Bertière qui manque , et c’est fâcheux, à sa bibliographie !

Olivia Legrand Sophie Herfort « tous les fantasmes sont permis et véhiculés à travers l’image de cette jeune femme légère, s’élevant dans les airs. » C’est ce que j’ai bien compris à la lecture des trois premiers chapitres. Vous y déversez tous vos fantasmes. Je ne fais encore que vous citer.

Le 12 mai 2021

Ludivine Jamin Bonsoir Jacqueline, une magnifique enquête ,merci pour ce partage, j’ adore ?! Et nos lecteurs comprendrons que ce n’était pas vous l’écrivaine …tout comme l’auteure annoncée (en haut de page) une petite lecture pour cet été, la vie virevoltante de la plus coquette et élégante Reine de France ? ,Bien à vous .

Benjamin Warlop à Ludivine Jamin , avez-vous lu ce livre pour le qualifier de magnifique enquête???

Ludivine Jamin à Benjamin Warlop ,Oui je l’ai lue et je trouve magnifique de pouvoir rentrée dans l’intimité de la reine et pouvoir connaitre cette époque par des faits historique, cordialement.

Benjamin Warlop à Ludivine Jamin , alors je vous en livre ma critique :
«Il est assez étonnant de découvrir ce genre de manuscrit qui semble avoir été publié tel quel. Il n’y a, certes, pas de faute d’orthographe, mais pas davantage de chronologie, ni de connaissance généalogique. L’auteure semble découvrir le XVIIIe siècle auquel elle n’entend pas grand-chose comme le montre le choix de la couverture (Fragonard était l’un des peintres favoris de Jeanne du Barry, illustrer Marie-Antoinette avec lui semble une blague). Mais cette faute est éloquente car Sophie Herfort lit les correspondances au premier degré du XXIe et prend toutes les emphases typiques de ces échanges pour argent comptant. Qu’aurait-elle déduit si elle avait lu les échanges du comte d’Artois et de Vaudreuil ? Elle ne les a assurément pas lus. Elle confond Yolande de Polignac (1749-1793) et sa belle-sœur, Louise de Polastron, se permettant triomphalement d’attribuer la paternité du fils aîné de madame de Polignac au comte d’Artois, qui fut l’amant de Louise de Polastron…Il suffit de voir la bibliographie pour constater le parti pris de l’auteure. Jamais je n’ai tant vu citées « Les fureurs utérines de Marie-Antoinette », un brûlot du XVIIIe siècle dont Sophie Herfort se plaît à reprendre des bases pour écrire le sien. A propos de la mort de Yolande de Polignac, qu’elle taxe de MST, je la cite : « à ceci près que le comte de Vaudreuil évoquera une « ménopause précoce » chez Mme de Polignac. Ce diagnostic semble bien déplacé chez un homme de cour et paraît bien suspect pour ce proche de la reine et de Polignac qui n’est absolument pas médecin. » Il ne me semble pas avoir affaire au docteur Herfort… aussi Sophie s’appuie-t-elle sur les supputations du docteur Paul Belaiche-Daninos (qu’elle rebaptise Pierre) en rappelant pompeusement qu’il est historien et ancien médecin chef à la faculté de médecine de Paris, alors qu’il est dentiste, ce qui limite les connaissances en matière de MST. Madame Adélaïde commence en tant que sœur de Louise XVI… elle redevient sa tante au cours des pages… mais Louis XV a du mal à mourir… Herfort en rappelle la date exacte , le 10 mai 1774, sur une page, mais Louis-Auguste demeure dauphin en 1775 et même en 1778. Avec tous ces méli-mélo, on ne s’étonne plus de découvrir de nouvelles données dans cette « enquête historique » qui s’inspire des mémoires apocryphes de Léonard Autié, qui m’avaient fait bien rire tant ils sont improbables, mais encore d’écrits anonymes auxquels on ne peut pas apporter de crédit à l’instar des « Histoires d’Amour de l’Histoire de France » de Guy Breton que je reconnaissais pour ce qu’elles étaient au collège. En somme, je plains le psy qui aura à traiter des « fureurs utérines » de Sophie Herfort !»

 

Ludivine Jamin à Benjamin Warlop ,votre analyse vous appartient, comme l’avis ou l’appréciation de chacun(e) à aimer ou non ce livre, je reste sur l’histoire factuelle d’une époque où l’on peut critiquer à souhait ce que l’on à pas vécu, bien à vous

Benjamin Warlop à Ludivine Jamin , évidemment que l’on peut apprécier à sa guise. Mais comment pouvez-vous parler d’histoire factuelle (sur une page d’Histoire à fortiori ) alors que tout est tronqué dans ce livre? La duchesse de Polignac est confondue avec sa belle-sœur pour en faire la maîtresse du comte d’Artois qui devient le père de tous les enfants de la cour ou presque…Je reste outré par les fausses révélations de lesbianisme de la Reine et Madame de Polignac qui sonnent comme un pamphlet homophobe (donc illégal depuis 2020) quand les cancers de l’une et de l’autre sont qualifiés de «dette du plaisir». Ce livre est répugnant. Mais je crois qu’il n’y a aucune éthique dans cette publication : le sexe explicité est une source de lucre. Nous ne serons jamais sur les mêmes longueurs d’ondes ! Bien à vous.

Ludivine Jamin à Benjamin Warlop ,je ne vous contredie pas dans les dysfonctionnements d’opinion et de tracabilité historique qui n’auraient su correspondre à la réalité ,beaucoups d’historiens répertoriant des écrits d’époque relatent ce passé, avons nous imaginer une période de faste sans ignorer cette décadence qui n’est pas sans précédent dans notre HISTOIRE.

Le 13 mai 2021

Benjamin Warlop Une historienne reprendrait-elle l’anecdote où Lauzun se fait congédier par la Reine en le remplaçant par Besenval ( dont c’est peut-être, pour elle, le nom le plus connu à l’instar de Louise de Polastron pour Yolande de Polignac? ) ou reprendrait-elle une chanson :
«La Reine dit imprudemment
A Besenval son confident
« Le Roi est un pauvre sire. »
L’autre répond d’un ton léger :
Chacun le pense sans le dire,
Vous le dites sans le penser.»
Mais dans sa version , elle cite cela comme un dialogue rapporté. C’est un roman, mauvais et répugnant de par son contenu. Votre fille s’est offusquée que je lui parle d’interprétation de ses sources. Mais quel historien n’interprète pas ses données ? C’était un compliment de ma part, avant que je lise ce qu’elle avait pu écrire dans tout le livre évidemment, car là on n’est plus à l’heure des compliments. Seulement de l’affliction. Comment Jean Tulard a-t-il pu préfacer un tel écrit ? En ne l’ayant pas lu assurément ! Le pauvre, ça le discrédite à jamais !Il suffit de constater la bibliographie ( Fleischmann , Michel de Decker, Guy Breton ), tous ces brûlots dont Sophie Herfort s’est inspirée pour écrire le sien. Comme j’ai lu le livre, j’en ai plein à raconter comme ça… Il n’y a rien de rien à retenir de ce livre, un vrai torchon !

Jacqueline Herfort à Benjamin Warlop vos commentaires sont à la limite de l’outrecuidance. C’est un euphémisme. Je constate que ce livre très passionnant à lire vous insupporte vraiment…Bonne journée M. Warlop.

Benjamin Warlop à Jacqueline Herfort . Quant à l’outrecuidance, cela résume tout-à-fait votre fille… A votre guise si vous voulez vous passionner pour cette désinformation ordurière. Mais je ne peux décemment pas laisser parler d’écrit historique. Un roman, un pamphlet. Mais votre fille n’a pas interprété ses sources, elles les a déformées et fait passer des chansons pour un témoignage historique. Franchement, reportez-vous au livre de Simone Bertière.

Le 14 mai 2021

Olivia Legrand à Jacqueline Herfort Les propos outranciers dont vous accusez Benjamin Warlop ne sont pas de lui mais de ce livre. S’ils vous dérangent c’est donc que ce livre vous dérange aussi.

Benjamin Warlop à Olivia Legrand , Jacqueline Herfort n’aura peut-être pas lu le livre de sa fille? Ou bien d’un œil distrait…

Jacqueline Herfort à Olivia Legrand En fait vous n’avez rien lu ni ses commentaires ni le livre ou je me trompe ?

Olivia Legrand à Jacqueline Herfort J’ai lu les trois premiers chapitres. Cela me suffit.

Benjamin Warlop à Jacqueline Herfort rassurez-vous, j’ai, avant-hier, fait part de ce que je découvrais à Olivia, elle est donc bien au courant de ce dont elle parle ?

Olivia Legrand à Jacqueline Herfort Non suffisant. Selon l’auteure, Louis XVI était encore dauphin en 1777 en rejoignant son épouse la reine dans son lit. J’aimerais bien savoir comment cela peut être possible puisque Louis XV est mort en 1774. Et je peux citer d’autres erreurs qui suffisent à stopper ma lecture.

Jacqueline Herfort A tous les donneurs de leçon jouissant de la science infuse, je vous transmets une citation de Jonathan Swift ce sera mon dernier commentaire. « Quand un génie véritable apparaît en ce bas monde, on peut le reconnaître à ce signe que les imbéciles sont tous ligués contre lui. » Je vous laisse choisir votre génie avec la noblesse de langage qui vous caractérise. Bon week end à tous et merci encore pour la publicité. Parler d’un livre même en mal c’est déjà le faire vivre. ?

Olivia Legrand à Jacqueline Herfort J’espère que vous ne pensez pas sincèrement que votre fille est un génie. La base en histoire c’est de se repérer dans les dates. Or votre fille appelle dauphin Louis XVI bien après la mort de Louis XV. Elle confond aussi les notions de sœur et tante puisque Madame Adélaïde commence dans ce livre comme sœur de Louis XVI pour redevenir sa tante plus tard dans le récit. Je peux lister encore et encore. Il suffit à Benjamin Warlop de poster une page de ce livre pour montrer « le génie » de votre fille. Je comprends que ce soit difficile en tant que mère mais vous ne pouvez nier que ce sont des erreurs.

Jacqueline Herfort Mais ce sont vous les génies…

Delanlssays Eric Où le génie ? Celui de l’imposture ?

Delanlssays Eric Vous confondez, je pense, « données archivistiques » ( une archive n’étant jamais nécessairement vérace ) et publications ou archives publiées …

Benjamin Warlop Pauvre Jacqueline Herfort , vous ne savez parler en votre nom pour défendre l’ordure qu’a pondue votre fille. J’attendais une critique de ma critique afin de discuter et de justifier mon avis. Mais comme tant d’autres vous fuyez le débat. Revenez sinon c’est déclarer le forfait. Si vous voulez me faire taire en me faisant penser que je vous fais de la pub … le mal était déjà fait alors ça ne me fera pas taire. Et parler de génie pour votre fille qui a écrit ces lignes, vous ne manquez vraiment pas d’air. Être votre imbécile ne me dérange pas, car tout est relatif…Si besoin était une image que montre la négligence du génie de votre fille.

Niko Vega à Benjamin Warlop attention à vos paroles vulgaires envers Sophie Herfort j’aimerais juste savoir quelle livre avez-vous publié avant de dire « ordure pondue » par sophie? Vous fête des complexes d’infériorité ? Pour être autant en rage après une charmante femme que vous n’aurez jamais?

Benjamin Warlop à Niko Vega en quoi ai-je l’air de faire des complexes d’infériorité? Maintenant on imagine que j’aurais désiré cette autrice… décidément vous manquez vraiment d’arguments pour votre défense. Je vous écoute, enfin… vous lis, si vous voulez défendre ses propos. Pour moi, ils sont indéfendables, ce sont des erreurs et de la manipulation de source absolument malhonnête! Pour ma part, je suis le co-auteur de cette page :https://www.marie-antoinette-antoinetthologie.com/J’avais créé ce forum :https://maria-antonia.forumactif.com/Vous pourrez m’y lire abondamment aussi. Et vous, Niko Vega? Qu’avez-vous écrit pour me taxer de vulgarité envers un livre ordurier qui ne pense les personnes que par la plus basse partie d’elles-mêmes?

Niko Vega à Benjamin Warlop vous rigoler ? Juste co-auteur c’est tout???

Olivia Legrand à Niko Vega Co-auteur de sites historiques. Avec des articles historiques.

Niko Vega à Olivia Legrand et Benjamin Warlop https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Sophie_Herfort

Niko Vega à Benjamin Warlop je vous ai pas trouvé sur Wikipedia ?????

Benjamin Warlop à Niko Vega mais encore? Au lieu de défendre Sophie Herfort pour ses formes, vous devriez prendre des cours avec elle : elle enseigne le français ?

Niko Vega à Benjamin Warlop je la défend pas pour ses formes mais pour ce qu’elle ai lisez son Wikipedia ??????

Benjamin Warlop à Niko Vega , je la connais bien, nous avons échangé via messenger, jusqu’à il y a quelques semaines, au moment où j’ai lu les premiers chapitres et en ai constaté les nombreuses erreurs. Elle n’a pas apprécié mon honnêteté et m’a bloqué sur FB, pour fuir le débat que sa mère a tenté de reprendre sur cette page-même… en vain, puisqu’elle a pris la fuite à son tour…

Niko Vega à Benjamin Warlop ordure pondue ? C’était intelligent ?je pense que vous êtes jaloux point

Niko Vega à Benjamin Warlop je pense que vous êtes à cours d’arguments

Benjamin Warlop à Niko Vega dégoûté, certainement ! Jaloux sûrement pas ! Voyons ! Ce livre est d’une nullité affligeante ! Pauvre Sophie Herfort, on a les défenseurs qu’on mérite !

Olivia Legrand à Niko Vega Ça risque pas. C’est vous qui n’avez rien compris. Nous n’avons jamais prétendu avoir une page Wikipédia !

Benjamin Warlop à Niko Vega j’ai tout le livre en guise d’arguments… Comme tant d’autres vous me supposez vos propres travers !

Niko Vega à Benjamin Warlop si il est si nul pourquoi vous vous donner tant de peine à le démonté ?

Olivia Legrand à Niko Vega Je vous signale au passage que la page Wikipédia de Sophie Herfort est loin de la défendre.

Benjamin Warlop à Niko Vega parce que Sophie Herfort elle-même s’est attachée à m’annoncer des nouveautés qu’elle a trouvées dans les archives. J’y ai cru avant de découvrir ses propos. Et comme certains lecteurs de bonne foi, comme Ludivine Jamin et peut-être vous, lui accorderont du crédit, mes propos tentent de les / vous alerter du manque de sérieux et de qualité de cet ouvrage. Je réalise peut-être ce que j’aurais aimé faire en 1793 contre le Père Duchesne… Au moins je ne reste pas à constater les ordures déversées encore sur Marie-Antoinette qui est ma passion absolue depuis plus de trente ans.

Olivia Legrand à Niko Vega Pour montrer en quoi justement il est nul et ordurier.

Niko Vega à Benjamin Warlop puisque Sophie Herfort a pondue une ordure, moi je pense que votre mère a mis 9 mois à descendre la sienne ?allez bonne soirée mr le looser

 

Benjamin Warlop à Niko Vega vous vous trompez, c’est de Sophie Herfort que vous postez l’historique, là !

Niko Vega à Benjamin Warlop oui mr en 2011 prix d’histoire et vous ?

Le 15 mai 2021

 

Olivia Legrand à Niko Vega Vous constaterez que
1/nos arguments sont uniquement historiques et non personnels ;
2/que vous citez vous-même une critique sur Sophie Herfort qui n’est pas de nous.
On a les défenseurs qu’on mérite. En plus dire bonne soirée à deux heures de l’après-midi ! Je comprends mieux pourquoi ses lecteurs ne sont pas choqués par les anachronismes de Sophie Herfort.

Benjamin Warlop à Niko Vega on aurait aimé lire quelque chose qui mérite ce prix. Le temps passe, les qualités de 2011 aussi. J’ai une licence d’Histoire de l’Art et un diplôme de stylisme-modélisme spécialisé en costume de scène de l’école ESMOD. Votre cursus à vous, monsieur?

Olivia Legrand à Niko Vega Du Guesclin du huitième arrondissement de Paris. Il faut bien tout lire. Ça relativise pas mal. Benjamin Warlop aussi a déjà été honoré pour son travail historique par sa mairie. Franchement… Lisez un peu mieux quand même !

Niko Vega à Benjamin Warlop mon cursus l’école de la vie…. en virtuel vous parler…..dans la vrai vie je vous fais taire et vous fait demander pardon à genoux

 

Benjamin Warlop à Niko Vega c’est comme ça que nos prisons ne se désencombrent jamais !

Niko Vega à Benjamin Warlop mdr c’est quoi c’est insinuation ?

Olivia Legrand à Niko Vega Je peux vous affirmer que vous ne réussirez jamais à mettre Benjamin Warlop à genoux devant une personne qui a réussi à faire pire qu’Hébert.

Niko Vega à Benjamin Warlop non c’est comme ça que les gens règle leurs différents

Benjamin Warlop à Niko Vega finir avec les poings quand on est à court d’arguments? Franchement c’est votre attitude qui est une insulte envers Sophie Herfort, plus que ma critique.

Olivia Legrand à Niko Vega ??? En les mettant à genoux ???

Niko Vega à Benjamin Warlop je dois me mettre à votre niveau malheureusement ?

Benjamin Warlop à Niko Vega levez donc la tête alors !

Niko Vega à Benjamin Warlop c’est vous qui êtes à genoux pas moi

Benjamin Warlop à Niko Vega vous rêvez mon pauvre et confondez avec la réalité. Vous voyez ? c’est tout ce que je reproche justement à Sophie Herfort !

Olivia Legrand à Niko Vega Mais non puisque je vous dis que cela est impossible. Benjamin Warlop ne pourra jamais être à genoux. Vous le connaissez bien mal !

Olivia Legrand à Niko Vega Cela va être difficile. Benjamin Warlop maîtrise largement plus que la moyenne la langue française et à mon avis vous êtes très très loin de son niveau concernant Marie-Antoinette.

Niko Vega à Olivia Legrand et vous votre cursus ?

Olivia Legrand à Niko Vega Et votre politesse ? Et votre niveau de lecture ? Relisez mes messages sur cet échange.

Niko Vega à Olivia Legrand le manque d’arguments que vous avez tous les 2 ……….

Olivia Legrand à Niko Vega Qu’avez-vous fait hormis des menaces ? Benjamin Warlop et moi-même avons critiqué ce livre avec extraits à l’appui. Faites donc de même pour en prouver les qualités. Or vous en êtes incapable. Notre cursus à l’un comme l’autre ? Plus de trente ans à étudier Marie-Antoinette avec diplômes en Histoire de l’Art, licence pour Benjamin Warlop, maîtrise pour moi. Je n’ai aucunement besoin de me justifier dans ma connaissance sur Marie-Antoinette. C’est une évidence pour quiconque me connaissant un minimum.

Olivia Legrand à Niko Vega Et depuis l’âge de huit ans, je me suis jurée d’écraser de mon talon toute personne osant insulter Marie-Antoinette. Et je le revendique bien haut.

Le 16 mai 2021

Olivia Legrand à Sophie Herfort Ne vous inquiétez pas sur ma santé mentale, il y a belle lurette que je sais qui je suis et ce que je dois à Marie-Antoinette et donc ce que je lui dois. Oui donc je revendique mes propos sans problème. Aucune inquiétude.

Olivia Legrand à Sophie Herfort Pour rappel c’est votre défenseur Niko Vega qui menaçait mon ami de le mettre à genoux pour vous présenter ses excuses. Là c’est bien de la menace. De plus votre amie nous traite de gueux mal et non instruits. Là il y a insultes. Mais cela ne me touche guère. Vous êtes pas la première qui doit nous subir. Et qui n’ont jamais réussi à nous faire taire. J’attends que vous m’argumentiez correctement. Vous n’y arrivez pas. Encore une fois pourquoi avoir fait l’impasse sur Chantal Thomas qui s’est pourtant intéressée au même sujet que le vôtre ? Sauf qu’évidemment elle n’en tire pas du tout vos conclusions.

Olivia Legrand à Sophie Herfort « il m’est difficile d’échanger avec les personnes qui n’ont pas de culture esthétique, ni fait d’études sur le sujet.  » Qu’en savez-vous ? J’ai une maîtrise d’Histoire de l’art, spécialisée dans le XVIIIème siècle. J’ai donc les références qu’il faut en la matière.

Olivia Legrand à Sophie Herfort Pour info Marie-Antoinette a passé de longues années à vouloir faire enlever les peintures commandées par Louis XVI dans la grande salle à manger du Petit Trianon qu’elle jugeait trop libertines. Elle n’a pas eu gain de cause car relevant des Bâtiments du Roi. Voilà.

Olivia Legrand à Sophie Herfort Un exemple ? «  »Entre le duc de Choiseul, le vieux quérulent mondain, court sur pattes, qui associe le roi à un débile mental à cause de sa myopie, le comte de Provence, son frère fourbe et calculateur, prêt à lui ravir sa place de régent, ses sœurs ingrates qui propagent leurs ragots aux « quatre vents »,voilà notre bon roi débonnaire « fort bien » entouré. »

Olivia Legrand à Sophie Herfort Je suis sûre que des gens innocents seront persuadés que ces mots si horribles viennent de moi. Non, c’est le ton général de votre livre.

Olivia Legrand à Sophie Herfort Que vient faire le duc de Choiseul à la cour quand Louis XVI est déjà roi ? Il en est exilé depuis décembre 1770.

Olivia Legrand à Sophie Herfort Quelle place de régent ? Le comte de Provence rêve d’être roi, pas régent. Sauf entre le 21 janvier 1793 et le 8 juin 1795.

Olivia Legrand à Sophie Herfort Personne ne remet en cause l’ambition du comte de Provence. Mais qu’il veuille la place de régent avant le 21 janvier 1793 c’est un total anachronisme. Encore une coquille ?

Olivia Legrand à Sophie Herfort Ses sœurs ? Madame Clotilde quitte la cour durant l’été 1775 à quinze ans pour le royaume du Piémont. Madame Elisabeth ? 10 ans ? Et qui sacrifiera sa vie pour son frère ? Quels complots ont-elles fomentés ?

Benjamin Warlop à Olivia, c’est la question que je me suis effectivement posé… Mais il s’agissait de Mesdames Adélaïde, Victoire et Sophie… qui sont les tantes du Roi, pas ses sœurs !

Olivia Legrand à Benjamin Warlop Ah bon ? Donc Sophie Herfort confond des sœurs et des tantes. Ok.

Benjamin Warlop à Olivia, tout comme Yolande (qu’elle prénomme Gabrielle) de Polignac que Sophie Herfort dit être mieux connue sous le nom de Louise de Polastron pour expliquer ses confusions… d’une cour qu’elle découvre assurément bien après nous !

Olivia Legrand à Benjamin Warlop Après les nièces/tantes, les belles-sœurs ! Ah bravo !

Olivia Legrand à Sophie Herfort Un autre extrait ?
«Sa culotte sur les genoux, il esquisse un sourire, teinté de molle satisfaction : « Il me semble bien que j’ai joui ! »lance-t-il, gêné, au médecin à gros monocle qui tient son carnet d’observations d’un air autoritaire.»

Olivia Legrand à Sophie Herfort Que dire devant cela ? Où est le travail historique ? Moi je lis un roman érotique de mauvais goût.

Benjamin Warlop à Olivia, de mauvais goût et de très mauvaise facture !

Olivia Legrand à Sophie Herfort Si vous en voulez d’autres… Mais maintenant j’aimerais bien que vous me justifiez vos anachronismes ou vos confusions familiales. Je veux bien encore vous accorder votre ton salace et obscène qui se croit léger et spirituel. Je peux seulement vous assurer qu’il ne ressemble en rien à l’esprit de cour. Si vous souhaitez lire un libertin du XVIIIème siècle, haut seigneur, je vous conseille le prince de Ligne. Là vous verrez qu’on peut être libertin sans vulgarité.

Benjamin Warlop à Olivia, j’aurais donné le même conseil de lecture… au risque qu’on nous prenne pour une seule et même personne comme sur wikipédia…. Bloqués une semaine, nous y sommes revenus… la personne qui nous a dénoncés pour possession de plusieurs comptes a été expulsé, justement parce qu’elle en avait plusieurs…Nos adversaires nous attribuent toujours leurs propres travers !

Olivia Legrand à Sophie Herfort Mercy n’était pas correspondant de cour mais ambassadeur de la cour de Vienne.

Olivia Legrand à Sophie Herfort « commerces affectueux » signifient cul pour vous ?

Olivia Legrand à Sophie Herfort Pedigree ? M’intéresser à Marie-Antoinette depuis l’âge de huit ans et d’avoir tout lu sur elle. Mes études ? Je vous l’ai déjà dit. Maîtrise d’histoire de l’art. Autres références exigées ?https://www.marie-antoinette-antoinetthologie.com/

Olivia Legrand à Sophie Herfort A ce stade ce ne sont plus des coquilles ! Vous réussissez quand même à faire mettre dans le même lit Louis XVI que vous appelez dauphin avec la reine. Et ce genre de « coquilles » grouille tout le long de ces trois premiers chapitres ! J’espère juste que les lecteurs honnêtes et de bonne foi de ces messages comprendront bien que mes propos outranciers ne sont que des citations de ce livre. Ils ne sont pas de moi.

Olivia Legrand à Sophie Herfort Ça pour vous ce n’est pas outrancier ?
Je vous cite :
«Sa culotte sur les genoux, il esquisse un sourire, teinté de molle satisfaction : « Il me semble bien que j’ai joui 1! » lance-t-il, gêné, au médecin à gros monocle qui tient son carnet d’observations d’un air autoritaire.»

Le 1 étant votre note de renvoi pour Le Gazetier cuirassé ou anecdotes scandaleuses de la cour de France. Vous voyez je vous ai bien lu. Jusqu’au chapitre trois. C’est trop pour moi de lire de telles inepties. Enfin quel historien sérieux peut prendre les pamphlets pour des sources historiques fiables ? Ce serait pour les analyser à la manière de Chantal Thomas dans sa Reine scélérate afin de montrer la campagne de diffamation contre Marie-Antoinette, je saluerais votre travail. Non, vous les prenez au premier degré. Même à douze ans je ne commettais pas cette erreur.

Et comment pouvez-vous lire mon ami Benjamin Warlop puisque vous l’avez bloqué. Vous pouvez le lire et lui ne peut pas ?

Olivia Legrand à Sophie Herfort C’est très simple ! Aucun biographe de Marie-Antoinette ne les a utilisés les jugeant pour ce qu’ils sont. Des pamphlets. Ils les connaissaient pourtant. Personne ne les découvre grâce à vous. Je les lisais gamine.

Olivia Legrand à Sophie Herfort Un autre pamphlet dont j’ai oublié le nom (fureurs utérines ?) raconte que l’impératrice Marie-Thérèse s’était fait prendre par un monstre velu caché dans un placard et en a eu Marie-Antoinette. Y prêtez-vous foi ?

Olivia Legrand à Sophie Herfort Pourquoi avoir fait l’impasse sur Chantal Thomas ?

Le 17 mai 2021

Benjamin Warlop à Sophie Herfort Ainsi Yolande (que vous appelez Gabrielle) de Polignac ne serait-elle pas confondue avec sa belle-sœur, Louise de Polastron, ce dernier nom étant celui de jeune fille de l’amie de Marie-Antoinette… ?

 

Olivia Legrand On voit bien à la lecture de cette page que vous confondez les deux belles-sœurs ! Madame de Polignac était mademoiselle de Polastron, pas madame. Et ce sera Bichette le seul véritable grand amour du comte d’Artois. Après sa mort il ne touchera plus aucune femme et se jettera dans la dévotion. Et vous appelez encore Louis XVI dauphin à une époque où il ne l’était plus. Encore une coquille ?

 

Benjamin Warlop à Sophie Herfort «Prouvez donc que ces anecdotes sont fausses dans ce cas…»?
Vous n’avez pas toujours été aussi procédurière : « La source doit faire référence. Quand une source accuse sans preuve une personnalité (car Herfort n’avance pas la moindre preuve, et ne fait qu’aligner des déductions), est-ce que l’on va colporter cette accusation ?»
https://fr.wikipedia.org/wiki/Discussion:Melville_Macnaghten

Olivia Legrand à Sophie Herfort Je découvre que vous avez eu Jacques Pradel comme défenseur d’un autre de vos ouvrages. Et Steevie Boulay pour un autre. Que dire ?

Benjamin Warlop Sophie Herfort :«J’ignorais que Marie-Antoinette était votre passion ! C’est génial du coup. Je vous remercie sincèrement d’avoir pris le soin de vous procurer mon ouvrage qui je l’espère remportera votre adhésion ! In fine, j’aime beaucoup votre forum*, il est très bien conçu et ludique…Tenez-moi au courant dès que vous aurez avancé dans la lecture du livre. Votre avis compte ! ??»
… à moins de manquer de crédulité à votre façon d’interpréter les archives, sans doute ?

* il ne s’agit pas d’un forum mais de notre Antoinetthologie, à Olivia Legrand et moi https://www.marie-antoinette-antoinetthologie.com/

Olivia Legrand Sophie Herfort Vous avez écrit vous-même que l’avis de Benjamin Warlop compte ! Nous faisons que vous citer.

Benjamin Warlop Sophie Herfort : «Et pour Paul Belaiche Daninos, on en reparle ? Désolée pour vous mais ce médecin et auteur ne s’appelle pas Pierre lol et n’est pas absolument pas dentiste… mais alors pas du tout… Quand on balance des bêtises pareilles pour défausser un auteur, c’est que l’heure est grave.»
Vous confirmez donc ce que je disais , je ne l’ai jamais appelé que Paul, moi … Oser parler de mes bêtises quand on est dans votre cas, n’est-ce pas un comble…L’image postée est bien issue de VOTRE bibliographie lol ?

 

Olivia Legrand Qui donc l’a appelé Pierre ? Pas mon ami Benjamin Warlop mais bien vous.

 

Benjamin Warlop Au temps pour vous, Sophie Herfort !

Le 18 mai 2021

Jacqueline Herfort à Benjamin Warlop et bien voilà, moi aussi j’ai trouvé une faute sur votre commentaire, autant pour vous, s’écrit autant !!! ? On ne parle pas du temps qui passe ici..

Benjamin Warlop à Jacqueline Herfort je pensais que vous aviez vérifié le contraire de ce que vous affirmez ici, hier même…. Votre fille l’écrit comme moi. Allez prendre des cours avec elle. Le temps qui passe? Vingt-quatre heures de mémoires , c’est trop vous demander?

Jacqueline Herfort à Benjamin Warlop je N’écris jamais au temps.. Je ne suis pas Sophie. Qui perd la tête ? Ne faites pas comme Louis XVI.

Benjamin Warlop à Jacqueline Herfort , vous avez tort et vous le savez en plus. Vous êtes une gentille maman qui épaule sa fille, c’est sans doute légitime. Mais ne soyez pas sotte !

Benjamin Warlop Sophie Herfort :«votre ami costumier qui se prend pour un historien avec un Deug d’histoire de l’art et se trompe constamment sur ses affirmations si j’en juge le temps qu’il m’a fait perdre à lui répondre en privé alors qu’il n’avait même pas lu le livre et commettait une quantité de bourdes historiques sans nom.»
J’ai une licence d’Histoire de l’Art, n’en déplaise à ma page de copains d’avant… que je n’ai jamais actualisée, et que je ne fréquente plus…Vous parlez de bourdes historiques?
Sophie Herfort :«Ah au temps pour moi Benjamin, une autre personne m’a écrit simultanément. Je jongle mal avec les réseaux sociaux...»
Vous me reprochiez en effet d’avoir placé le mariage en 1769… mais je connais bien mon 16 mai 1770 ?Quelles bourdes historiques me reprochez-vous donc ?

Benjamin Warlop Un article, de 2008, que le Télérama hors série consacré à Marie-Antoinette nous avait dédié, aux créateurs du Boudoir de Marie-Antoinette, dont fait partie aussi Marie-Rose Demasy… Puisque vous voulez des références …

 

Olivia Legrand Et c’est comme cela que j’ai rencontré ceux qui sont devenus mes amis !?

 

Olivia Legrand à Sophie Herfort Franchement faites un effort ! Qu’est-ce que c’est que ce paragraphe ? «Sans doute, Marie-Antoinette frissonna-t-elle en pensant au mariage malheureux d’Henriette-Anne de France, un siècle plus tôt. Le 11 mai 1625, cette reine se mariait par procuration à Charles Ier d’Angleterre. Elle avait fini décapitée.»
D’où sortez-vous que Marie-Antoinette ait pu penser à cette princesse le jour de son mariage ? Elle avait certainement autres choses entête ce jour-là ! Vous êtes forte au point de connaître les pensées de Marie-Antoinette ?De plus Henriette-Anne c’est sa fille, du nom de sa marraine la reine de France. Elle c’est Henriette-Marie, du nom de sa mère. Et elle ne finit aucunement décapitée ! Son mari, mais pas elle ! Vous allez sûrement dire que ce sont encore des coquilles. Il n’y a pas, je vous l’accorde, de propos salaces dans cet extrait mais une multitude d’erreurs ! Et ce n’ est que ça tout le long de ces trois premiers chapitres ! Du cul et/ou des erreurs historiques majeures.

Benjamin Warlop Pour Sophie Herfort, je ne dispose que d’une licence d’Histoire de l’Art (d’un point de vue universitaire, j’entends : la suite de mon cursus à Esmod a développé une connaissance nouvelle de l’Histoire à travers la mode… et même la psychologie du costume qui me passionne), alors je ne devrais pas me sentir digne d’être l’ami d’Olivia Legrand? ? N’est-ce pas Ludivine Jamin et Niko Vega, vos défenseurs, que vous insultez par là? Ce n’est pas en université que j’ai cultivé ma passion pour l’Histoire mais dans mes lectures. J’ai toujours choisi de tout lire pour pouvoir critiquer en connaissance de cause. Surtout tout ce qui concerne Marie-Antoinette. Je n’apprends parfois qu’un seul nouveau détail, ça peut me suffire… mais du coup cela me permet de repérer les informations frauduleuses. Et de votre livre, Sophie Herfort, il n’y a franchement rien de rien à retenir ! Ce que vous avez découvert, nous le connaissions depuis longtemps. Aucun auteur n’y prêtait foi. Lorsque Chantal Thomas a sorti La Reine Scélérate, Marie-Antoinette dans les pamphlets (essai littéraire), en 1989, j’étais furieux… mais je l’ai lu et j’ai découvert le travail qu’elle a fait par rapport aux documents que vous avez considérés au premier degré, comme une néophyte ! Son essai est brillant car il démontre comment l’image de la Reine a été abimée au gré des publications. Dois-je réitérer mon opinion quant à votre livre? Ma colère est sans doute teintée de déception, car, depuis 2007, je vous avais fait confiance à propos de vos recherches sur Jack l’Eventreur… Je m’aperçois que je n’aurais peut-être pas dû. Je vous relirai quand j’en aurai l’envie, pour relativiser. Pour le temps que vous dites avoir perdu dans nos échanges, franchement c’est dénigrer le mien qui fut occupé à lire vos promesses, que j’ai attendues avec impatience, tant une vision nouvelle d’après les écrits de Mercy m’intéressait… Tant pis pour moi. Cela fait vingt ans que je suis correcteur d’ouvrages historiques pour des amis… d’où l’aspect de manuscrit auquel j’ai comparé ce que je venais de lire de vous.

Benjamin Warlop Puisqu’on m’accuse de diffamation, je continue le public à constater que les erreurs ne sont pas dans mes yeux , mais dans le texte que j’ai fait un peu mieux que survoler …Quelle archive vous a fourni cette information du mariage d’Axel de Fersen? A quelle date ? avec qui?

Olivia Legrand Donc en effet où avez-vous trouvé que Fersen se soit marié ? C’est un comble pour moi de devoir vous dire de lire un peu mieux Evelyn Farr !

 

Benjamin Warlop Comment accorder du crédit à un tel témoignage ?
C’est une blague, encore?

 

Olivia Legrand à Sophie Herfort Mon ami Benjamin Warlop attend toujours que vous lui retrouviez ses bourdes historiques.

Benjamin Warlop Ainsi ce sont vos accusations de diffamations, Sophie Herfort, qui deviennent diffamatoires à mon endroit. Avouez qu’autant de coquilles (j’en ai beaucoup en réserve, encore ) rendent votre page de remerciements assez comique …J’accepterai peut-être vos excuses, si vous daignez me les présenter.

Olivia Legrand On dirait en effet une blague quand on voit le nombre de coquilles accumulées !
Remerciements de Sophie Herfort

Olivia Legrand à Sophie Herfort Vous admettrez quand même que les propos orduriers ne viennent ni de Benjamin Warlop ni de moi mais bien de vous !!!Mais surtout, et c’est plus grave historiquement, il est frappant, flagrant, évident que ce chevalier D.S. n’est pas une personne du XVIIIème siècle. Ni du XIXème, ni de la première partie du XXème siècle. Personne ne parlait ou n’écrivait ainsi. Ce témoignage est un fake. On dirait une mauvaise retranscription du clip Pourvu qu’elles soient douces !!!Alors soit vous participez sciemment à ce fake, soit vous en êtes la victime.

Le 19 mai 2021

Jacqueline Herfort RAPPEL A CERTAINS INTERNAUTES :

Pour information : sauf si l’oeuvre est tombée dans le domaine public (70 ans après la mort de l’auteur) sauf si vous avez l’autorisation de l’éditeur, il est interdit de publier des pages de livre d’auteur sur intranet. Article L 122-5 du code de la propriété intellectuelle et artistique.

NOTE : 

Article L122-5

Version en vigueur depuis le 26 novembre 2021

Modifié par Ordonnance n°2021-1518 du 24 novembre 2021 – art. 1

Lorsque l’oeuvre a été divulguée, l’auteur ne peut interdire :

1° Les représentations privées et gratuites effectuées exclusivement dans un cercle de famille ;

2° Les copies ou reproductions réalisées à partir d’une source licite et strictement réservées à l’usage privé du copiste et non destinées à une utilisation collective, à l’exception des copies des oeuvres d’art destinées à être utilisées pour des fins identiques à celles pour lesquelles l’oeuvre originale a été créée et des copies d’un logiciel autres que la copie de sauvegarde établie dans les conditions prévues au II de l’article L. 122-6-1 ainsi que des copies ou des reproductions d’une base de données électronique ;

3° Sous réserve que soient indiqués clairement le nom de l’auteur et la source :

a) Les analyses et courtes citations justifiées par le caractère critique, polémique, pédagogique, scientifique ou d’information de l’oeuvre à laquelle elles sont incorporées ;

Donc une fois de plus madame Herfort en voulant protéger sa fille nous donne les outils pour la combattre.

Mais malheureusement. je l’ignorais à l’époque.

Revenons au débat :

Olivia Legrand à Jacqueline Herfort Vous n’avez trouvé que ça comme riposte ? Et si nous citions votre fille sans preuves à l’appui, vous nous en auriez réclamées !

Jacqueline Herfort à Olivia Legrand je ne suis pas aussi douée que vous pour les joutes historiques, n’ayant pas vos connaissances j’émets simplement une loi que l’on doit respecter. Je suis factuelle dans ma plus grande simplicité. Bonne soirée.

Benjamin Warlop Bonne soirée à vous, Jacqueline Herfort?

Olivia Legrand à Jacqueline Herfort Hier j’étais une inculte. On avance. Bonne nuit.

Benjamin Warlop à Jacqueline Herfort , c’est vous, et votre fille, qui avez provoqué ces publications qui l’ont amenée à admettre des coquilles et le fait que je ne suis coupable d’aucune diffamation. Avez-vous donc si honte des pages qui ont été postées pour contrer votre mauvaise foi?

Olivia Legrand à Jacqueline Herfort Pour rappel, hier encore vous nous accusiez de ne pas avoir lu ce livre. Et maintenant vous nous reprocher de prouver le contraire ! Un peu de cohérence !

Benjamin Warlop à Jacqueline Herfort , je présume que l’éditeur ne saurait, lui, que nous remercier de repérer ces coquilles que , par suffisance (?) , votre fille n’a pas daigné relire et corriger avant cette publication qui leur fera assurément une très mauvaise presse !

Olivia Legrand Qu’est-ce qui vous fait penser que je suis royaliste ? Jean Tulard n’est pas spécialiste de Marie-Antoinette mais de Napoléon.

Olivia Legrand Les fora, site et association cités ne sont pas royalistes.

Le 20 mai 2021

Jacqueline Herfort En fait j’ai quelque chose encore à dire :

Le cyberharcèlement en ligne ou cyberintimidation est puni par la loi. Relativement récente en effet, loi n° 2020 766 du 24 juin 2020 visant à lutter contre les contenus haineux. Car on peut faire partie d’une association de Marie Antoinette, et ne pas attaquer en continu, pratiquement de jour comme de nuit, comme certains le font, un livre qui parle de cette Reine en relatant sa vraie vie. Ceux qui ont la critique exacerbée, sont ils aussi parfaits qu’ils veuillent le faire croire ? Je pensais naïvement, certes, que faisant partie des Rois et Reines de France, ces personnes qui se reconnaîtront, avaient une sorte de classe naturelle qui sied à ce cercle. Ce déversoir de haine, envers l’auteure, mais aussi envers les lecteurs à qui l’on doit le respect, dessert leur légitimité et leur sérieux. Dommage pour eux. Il est évident qu’il y a une limite à tout.

Benjamin Warlop à Jacqueline Herfort , nos propos ne répondent qu’aux 350 pages écrites par votre fille Sophie. Il n’y a aucune haine individuelle qu’Olivia ou moi aurions pu déverser. Ne le prenez ni pour vous , ni pour Sophie. C’est son livre qui manque de classe, de chronologie, de vérité, de tant de choses que cela nous a inspirés ces critiques. Dites-moi donc où j’ai pu vous offenser. Et relisez le livre de votre fille. Franchement je me sens intègre. Mais dites-le moi si je me trompe.

Olivia Legrand à Jacqueline Herfort Et le harcèlement et la diffamation contre Marie-Antoinette et Louis XVI dont a fait preuve votre fille dans son livre ? N’est-il pas légitime dans une page intitulée Rois et Reines de France de les défendre ?Et le respect que doit votre fille envers ses lecteurs qui doivent subir des expressions comme «trifouiller le poireau», des erreurs de dates et confusions de personnes et en plus de se baser sur une source principale qui s’avère être un faux, grossier dans tous les sens du terme ?

Jacqueline Herfort à Olivia Legrand compliqué d’harceler des personnes décédées depuis fort longtemps ! ?

Olivia Legrand à Jacqueline Herfort Louis XVI et Marie-Antoinette sont pour moi bien plus vivants que de nombreuses autres personnes. Cela ne sert à rien de s’exprimer sur ma santé mentale. Je me suis déjà expliqué là-dessus plus haut.

Olivia Legrand à Jacqueline Herfort Nous traiter d’incultes, pas suffisamment diplômés, de royalistes, n’est-ce pas nous diffamer ?

Jacqueline Herfort Encore quelque chose à dire, voici une plante particulièrement destinée pour certaines personnes, dont je tairai les noms….mais qui se reconnaîtront : La fleur de Bach Beech ou Hêtre : pour celui qui juge vite et surtout condamne. La fleur de Bach Beech ou Hêtre est très utile pour celui qui de préférence passe ses journées à critiquer les autres. Avez-vous tendance à paraître plutôt arrogant et intolérable ? Remarquez-vous que vous avez de la peine à comprendre les sentiments et les idées de quelqu’un d’autre ? Voici la posologie : 2 à granules dans un verre d’eau, 4 fois par jour !!! Vous pouvez vérifier.?

Le 21 mai 2021

 

Benjamin Warlop Merci, Jacqueline, puisque c’est à moi, en partie, que vous destinez ce remède, mais je ne ne critique pas «les autres», je critique le livre de votre fille dont vous êtes ici venue faire la publicité. J’ai toujours été ouvert au dialogue pour atténuer mon opinion. Mais ce fut le déversoir d’insultes de votre part et de celle de votre fille. Avouez qu’on a connu meilleur plaidoyer pour un livre ?
La fleur de Bach, ça me plaît plutôt comme remède. Mais est-ce à vous lire que nous sommes censés vérifier ses vertus? ?

Olivia Legrand à Jacqueline Herfort Que répondre ? Nous sommes sur une page d’Histoire, pour parler d’un livre a priori historique. Pas en botanique ou médecine douce.

Jacqueline Herfort à Olivia Legrand c’était une petite pointe d’humour… ? Ne me dites pas que Marie Antoinette et Louis XVI en étaient dépourvus, eux aussi…

Olivia Legrand à Jacqueline Herfort Non évidemment mais je ne vois pas le rapport. Seulement je doute que vous soyez capable de trouver des traits d’humour de leur part.

Olivia Legrand Revenons au sujet. Nous attendons toujours
1/de quelle manière Sophie Herfort a pu trouver trace d’un mariage de Fersen ;
2/les bourdes historiques de Benjamin Warlop ;
3/ l’expression «trifouiller le poireau» est-elle une coquille ou un trait d’esprit ?

Olivia Legrand Mais encore ? Je vous signale que vous riez à propos des écrits de votre fille. Je ne fais que la citer.

Benjamin Warlop Moi aussi, j’ai une chose à ajouter, Jacqueline Herfort , car je m’aperçois n’en avoir pas parlé et je sais comment cette omission pourrait être interprétée : je n’accorde AUCUN crédit à la piètre réinterprétation de votre fille de l’affaire du collier. C’est sous Louis XV qu’a été construit le Petit Trianon. Ces dépenses ne sont donc pas restées sur les épaules de Marie-Antoinette. CQFD

Sophie Herfort : Beaucoup de pièces à archives sont accessibles par le site de la BNF ? Vous découvrez ? « Rare » je ne me souviens pas avoir dit cela… Je préfère la version papier, je vous laisse les téléchargements de versions consultables si c’est plus simple pour vous… Vous ne connaissez pas vos droits, ni vos limites. Je vous parlais uniquement de mon ouvrage. Ce que vous avez fait était strictement interdit et en plus vous revenez sur le sujet.

Le 22 mai 2021

Sophie Herfort : Je n’ai besoin de personne pour me défendre ma pauvre. Je vous prépare une belle réponse pour ce soir. J’ai les correspondances originales de Duras, donc ne parlez pas de ce que vous ignorez et je connais tres bien sa specialiste Mme Diethelem qui a beaucoup suivi mes recherches…

Olivia LegrandVous m’avez dit que votre source principale est rare : https://fr.wikisource.org/…/Le_Cadran_de…/Texte_entier Allez-vous m’attaquer en publiant des extraits d’un ouvrage disponible en ligne ??? Vous rendez-vous compte que pas seul un instant vous avez réussi à me prouver votre crédibilité ? A chaque fois vous bottez en touche ou appelez à la rescousse votre maman. Maintenant je vais me faire un malin plaisir de lire attentivement cette « source », de la citer tant que je veux et de montrer (une fois de plus) vos erreurs. En sachant déjà que vous en avez fait le duc de Duras. Pauvre homme, il ne méritait pas cela.

Sophie Herfort : Ce soir, ce sera à mon tour de vous montrer vos erreurs… Vous vous croyez où dans une cour de récréation ? Je me moque de ce que vous pensez de mon livre vous comprenez ? Mais par politesse, je vais démonter chaque accusation de votre ami. Vous n’êtes pas crédible. Vous parlez d’un livre que vous n’avez pas lu. Je reçois beaucoup de messages de soutien en MP de la part des membres de Rois et Reines de France et grâce à qui ? A vous ! Merciiiiiii !!!!! ❤️❤️❤️❤️

Olivia Legrand A demain donc, j’ai hâte de lire la suite ! J’aurais au moins eu le mérite de vous provoquer des insomnies !

Benjamin Warlop Un peu de cohérence , franchement ! Si vous daignez, enfin, Sophie Herfort, « démonter » ma critique, je serai fort-aise de discuter. Mais vous y mettez du temps. On dirait que vous découvrez votre livre. Changez d’amis ou de conseillère : Anne Mars que vous remerciez en fin de « livre » ne semble pas mériter votre hommage à son exigence.

Olivia Legrand Je n’ai pas le temps de vous répondre mais je n’y manquerai pas. Juste un point : Louis XVI était maigre jusqu’à ses vingt-cinq ans. Il est facile de se renseigner quand on consulte sérieusement les sources. Je connais des gens atteints d’hernie. Ils arrivent à peine à descendre un escalier… Avec nos moyens du XXIème siècle !

Jacqueline Herfort à Olivia Legrand contrairement à ce que vous pensez je viens naturellement soutenir Sophie. N’est ce pas normal ? Que voulez vous nous sommes une grande famille.

Olivia Legrand à Jacqueline Herfort Ai-je dit le contraire ? Je souligne juste qu’il ne reste plus que vous pour soutenir votre fille.

Jacqueline Herfort Que vous croyez.. Beaucoup de soutiens de Sophie ne sont pas sur le site de Rois et Reines.

Benjamin Warlop à Jacqueline Herfort , Sophie le dit, en effet. Franchement j’aimerais lire du soutien historique. Car depuis une semaine vos contradictions, vos excuses de mauvaise foi et vos attaques personnelles ne vantent en rien votre clan. Alors si vous pouvez nous dire comment accéder aux mémoires de Monsieur Campan dont Sophie a parlé, je suis impatient !

Olivia Legrand à Sophie Herfort Vous admettez vous-même que nos sources sont bonnes. C’est déjà pas mal parce que vous partiez dans l’idée, vous et vos défenseurs, que nous étions incultes et en aucun cas légitimes. Or vous avez été obligée de constater que nous en savons beaucoup plus que vous sur Marie-Antoinette. Donc oui, nous avons le droit de critiquer. Cela vous déplaît, déplaît à d’autres, et alors ? Une bande-annonce de film me suffit à savoir que je n’ai pas besoin de me rendre au cinéma et attendre gratuitement de pouvoir regarder ce film chez moi. Pareil pour votre livre.

Le 23 mai 2021

Benjamin Warlop Vos propos , Sophie Herfort, confirment mes impressions, il vous a fallu une semaine pour retrouver des « bourdes historiques » que j’aurais faites le 20 mai 2021… Votre enquête de bourdes se cantonne à ma critique qui date du 3 juin 2021. Nous n’avons décidément pas la même notion de la chronologie ! Sophie Herfort :
« Monsieur Warlop refuse de penser que le Dr Belaiche-Daninos soit apte à déterminer ce qu’est un squirre, concernant l’état de santé de Marie-Antoinette parce qu’à ses dires, cet homme serait dentiste ??? Ah, oui depuis quand ? Le Dr Belaiche-Daninos est bien connu pour être médecin mais aussi chercheur et dispose des compétences nécessaires pour déterminer en fonction des signes cliniques si la reine souffrait ou non de cette maladie vers la fin de sa vie. Son diagnostic se base sur les témoignages d’époque, il est en outre historien de la période XVIIIème siècle.»
Soit, l’information qu’on m’a donnée quant à Paul Belaiche-Daninos, le 5 novembre 2005 (lors du colloque versaillais auquel il participait), aura été erronée. On va dire que c’est une «coquille»… je vous pense, en l’occurrence bien mal placée pour me jeter la pierre… mais cette coquille est bien accessoire dans le débat qui nous préoccupe, puisque vous-même dénigrez les valeurs du diagnostic de Vaudreuil qui a assisté Yolande de Polignac, sa cousine, jusqu’au bout. Comment, selon vous, prêter foi aux personnes qui ont seulement été témoin de la dernière matinée de Marie-Antoinette. Puisque un tel «diagnostic (vous) semble déplacé», parlons-en comme un témoignage… mais du coup le diagnostic qui en découle ne doit pas vous paraître plus recevable. Question de cohérence !

Olivia Legrand à Sophie Herfort N’allez pas sur le terrain psychologique, vous risquez d’y perdre encore des plumes. Vous avez vos soutiens, tant mieux, mais combien d’entre eux connaissent Marie-Antoinette ? Mes soutiens la connaissent et choqués par vos propos me remercient. Je reçois aussi beaucoup de messages de soutien. Trop de gens sont choqués.

Sophie Herfort : Non Olivia, vous êtes intéressante, dommage que nous n’ayons absolument rien de commun, sauf peut-être Marie-Antoinette et encore…

Olivia Legrand : Sophie Herfort «Je me moque de ce que vous pensez de mon livre vous comprenez ?»
Ah bon ? On ne dirait pas pourtant ! Mais moi par contre je tiens à montrer toutes les erreurs de votre livre. On se demande qui de nous deux à le plus de problèmes psychologiques. De mon côté j’assume totalement qui je suis et mon combat contre ceux insultant Marie-Antoinette. Vous, vous dites que vous vous moquer de mon avis et passer des heures depuis trois jours (et nuits) à prouver le contraire !

Sophie Herfort : – DROIT DE REPONSE – (3 parties) Tout d’abord, je tiens à préciser que je n’avais nulle obligation de m’abaisser à subir cet affreux pugilat, mené tambour battant par deux personnes dont l’une a survolé mon livre et l’autre ne l’a jamais lu et s’en vante allègrement, tout en se permettant illégalement d’en diffuser la teneur publiquement. Dans une critique littéraire, cela ne s’est jamais vu. Ensuite, votre ton impérieux Mme Legrand laisse à penser que vous vous croyez à la tête du Comité de salut public pour oser exiger de moi, ce qui émane de ma stricte liberté de répondre ou de choisir bien évidemment de ne pas le faire par respect pour les miens et moi-même. Quel est ce ton autoritaire que vous vous permettez d’employer à mon égard pour exiger de moi une réponse ? Qui êtes-vous pour me parler ainsi ? En vérité, ce message s’adresse surtout à Benjamin Warlop et à ses propos décousus et ses insinuations borgnes auxquelles je vais tenter de répondre méthodiquement et à lui seul, tandis que votre ami me calomnie sans vergogne sur son espace Facebook. Il est donc inutile de répondre à sa place puisque Mme Legrand, vous n’avez pas lu mon livre, il est donc normal, que je choisisse de ne pas vous prendre au sérieux. Vous portez la bonne parole de votre super ami costumier « hyper instruit » qui pense que Louis XVI était un homme maigre ! Il faut comprendre un peu mon désarroi. Tout d’abord Monsieur Warlop pense qu’il y a confusion d’anecdote autour de Benseval, lorsqu’il est congédié (non pas exilé) par la reine sans faire référence à la petite histoire sur laquelle il se base mais j’ai retrouvé les passages concernés de mon texte qui sont exacts. Besenval n’est pas Lauzun et Lauzun n’est pas Besenval. Aucune confusion là-dessus, ni dans mon livre, ni ailleurs. Le problème étant que ces deux favoris ont été « remerciés » par la reine à deux moments bien distincts de leur vie. L’anecdote de la convocation de Besenval relative à l’entretien dans les appartements secrets de la reine, émane de l’intéressé lui-même. Je vous renvoie aux Mémoires du baron de Besenval. L’intéressé a été congédié par la reine pour avoir pensé que ce fut à d’autres desseins liés au divertissement qu’il fut convoqué par celle-ci. Ce qui est plutôt louable de la part de Marie-Antoinette. Elle voulait juste s’entretenir avec lui à propos d’Artois et des rumeurs de duel arrangé avec Monsieur de Bourbon-Condé, suite aux événements de la soirée du 3 mars 1778. Concernant Lauzun, celui-ci fut congédié après avoir réclamé avec audace la restitution d’une plume d’Héron, prêtée à la reine par l’intermédiaire de Mme de Guéménée, alors gouvernante des enfants royaux à l’époque. Tout cela est aisément vérifiable, je vous l’assure… Référez-vous donc aux Mémoires du duc de Lauzun. Alors de quoi parle au juste votre ami costumier ? Serait-il perdu dans ses soieries vaporeuses à divaguer entre deux robes en percale de Rose Bertin ?Autre point, Monsieur Warlop refuse de penser que le Dr Belaiche-Daninos soit apte à déterminer ce qu’est un squirre, concernant l’état de santé de Marie-Antoinette parce qu’à ses dires, cet homme serait dentiste ??? Ah, oui depuis quand ? Le Dr Belaiche-Daninos est bien connu pour être médecin mais aussi chercheur et dispose des compétences nécessaires pour déterminer en fonction des signes cliniques si la reine souffrait ou non de cette maladie vers la fin de sa vie. Son diagnostic se base sur les témoignages d’époque, il est en outre historien de la période XVIIIème siècle. On la savait sujette aux saignements abondants par exemple. Evidemment le squirre reste une hypothèse soulevée a posteriori par ce brillant docteur qui n’est absolument pas dentiste de profession, n’en déplaise à Monsieur Warlop qui commet encore une bourde, une de plus qui pourrait porter insulte à ce praticien mais j’aurai assez de clémence pour ne pas mentionner à l’intéressé qu’on le prend pour un dentiste sur les réseaux sociaux, cela risquerait de provoquer son hilarité, d’autant que ce chercheur en médecine dispose d’un site de référence autre que Wikipedia dont il dispose et où il figure et qui résume déjà tout cela. Nommé médecin-chef de département à l’U.E.R de Paris XIII pour la recherche et l’enseignement, en 1984, je pense que cet homme dispose d’un degré de qualification suffisant pour l’affaire qui nous occupe. Non ? Oui, je l’ai appelé « Pierre » au lieu de « Paul », c’est grave Docteur ? Allez-vous portez plainte ? Maintenant, Monsieur Warlop ferait mieux de se renseigner avant de dire n’importe quoi… Et dans la série « j’accuse Herfort de faire des erreurs sur le titre d’Adelaïde, tante de Louis XVI… » C’est bien une coquille isolée en page 68 car en pages 66 et 128, il est parfaitement précisé par deux fois qu’Adelaïde est bien la tante de Louis XVI ! J’aurais peut-être dû le redire une 3ème fois car apparemment deux fois n’était pas suffisant ! Et cela me vaut une volée d’insultes, tout comme pour « roi » et « dauphin » ! (« torchon », « mauvais roman répugnant », « ordure » et j’en passe et des meilleures). C’est une honte. Et le fond du livre, on en parle ? Ah non c’est vrai que mon essai vous dérange alors que vous ne l’avez pas lu parce qu’il est jugé « répugnant ». Vous ne ferez pas l’effort de voir au-delà de ce qui vous indigne, vous contentant de trouver de misérables scories pour crier au scandale dès qu’une apparaît au détour d’une page ! Ah, j’en vois une ! Pathétique. Ensuite votre super ami, non content de se complaire dans l’erreur, va m’attribuer une confusion identitaire entre Louise de Polastron et sa belle-sœur Gabrielle de Polignac ? Et pourquoi au juste ? Parce que j’ai nommé la future Gabrielle de Polignac « Madame » ou lieu de « Mademoiselle » de Polastron ? La belle affaire ! Poussée par un instinct féministe XXIème, j’ai voulu respecter la loi très moderne sur les usages du genre. Cela vous dérange-t-il ? Monsieur le costumier écrit : « La duchesse de Polignac est confondue avec sa belle-sœur pour en faire la maîtresse du Comte d’Artois ? ». Je n’en fais pas la maîtresse d’Artois. Ce fut le cas, tous les historiens le savent. L’une et l’autre avaient Artois comme amant. Gabrielle de Polignac a eu Jules avec Artois et non pas avec son mari prénommé Jules aussi d’ailleurs, ce n’est pas une nouveauté, c’est de notoriété publique. Parce que j’eus l’outrecuidance d’appeler Melle de Polastron Madame, on croit que je la confonds avec sa belle-sœur ? Comment dit-on selon la formule actuelle consacrée très à la mode : « Pas d’amalgame ? ». Et enfin le mariage de Fersen dont vous vous faites un souci obsessionnel de me harceler avec cela, alors que ce fait reste pour moi complètement anecdotique d’autant que les lettres de Fersen évoquaient son rejet du mariage et j’en parle justement. C’est bien connu, les gens ne changent pas d’avis…hein ? N’est-ce pas ? Selon les sources dont je dispose, il s’est marié secrètement et rien que pour vous frustrer encore un peu plus, ce sont les seules sources du livre que je ne vous révèlerai pas. Fersen a failli se marier plusieurs fois mais par fidélité à la reine, il était impératif qu’on soit sûr qu’il ne souhaite jamais se marier de sa vie d’où ses correspondances où il exprime son rejet du mariage. Et pour cause, toutes celles qu’il a aimées dans la vie étaient déjà mariées. Concernant les Mémoires du Chevalier D.S dit l’abbé, je vous invite à vous rapprocher des Archivistes de la BNF pour qu’ils vous certifient la période de ces mémoires avec exactitude et qui remontent bien à l’année 1789. La maison d’édition Tribaldis date de cette époque, demandez qu’ils sortent le carbone 14 si vous en doutez, vous allez me demander de m’y coller là encore ? Et à genoux aussi ? Ah, suis-je bête, vous avez déniché par fainéantise sans doute une version consultable en ligne si j’en juge votre dernier post, plein de fiel et d’arrogance. En espérant que quelques lecteurs bonapartistes, républicains ou bien royalistes éclairés décident de passer outre ce faux procès qui m’est fait à charge. Etant donné que vous avez été capables vous et Monsieur le costumier de faire des interventions qui seront je l’espère non prises au sérieux par ceux qui lisent vraiment les livres avant de les soumettre à la critique. Vous m’exposez à l’insulte publique, je crois que mon rôle d’éclaircissement s’arrête là. Vous pinaillerez sûrement sur des points de détail pour passer le temps et vous vous plaindrez que je ne réponde pas mais je me trouve fort clémente d’avoir répondu jusqu’ici avec autant de diligence à d’insoutenables FAUSSES ACCUSATIONS destinées à une seule chose qui rappelle le bruit des bottes : sauvegarder la pureté d’une icône que certains pensent à « béatifier », quitte à « écraser » toutes les personnes qui critiqueront la reine de France Marie-Antoinette comme vous l’avez souligné dans un de vos messages à caractère menaçant qui laissait bien entrevoir le genre de personne que vous êtes. Vous Madame et je termine par vous, vous parlez tout de même « d’écraser » toute personne qui s’en prendrait à la sainte icône Marie-Antoinette. Prenez donc votre tension qui doit être haute à mesure que vous me lisez parce que dans les jours prochains, votre tension augmentera encore sûrement à moins que vous ne décidiez de passer mon livre aux oubliettes, ce qui dans votre cas serait à usage thérapeutique, d’autres que vous prendront un certain plaisir à le lire et ne s’offusqueront pas de quelques coquilles, tant leur joie sera grande en parcourant mes lignes, je peux vous l’assurer. Vous excuserez le retard de ma réponse : je travaille, j’ai donc très peu de temps à consacrer aux réseaux sociaux, contrairement à d’autres qui se nourrissent des mises à mort d’auteurs qui tentent juste de faire leur travail avec ardeur. Quant au petit passage relatif à l’appréhension de Louis XVI et à son intimité (peur d’une opération sur phimosis), je me réserve le droit de fleurir mon langage sans avoir de comptes à rendre à personne en fait. Sinon, je renoncerais à être écrivain, ce serait dommage, enfin, peut-être pas pour vous mais pour les autres, je pense. Je vous l’ai dit, je n’aime pas me donner en spectacle. Je tiens maintenant à remercier certains pour le nombre incroyable de messages de soutien littéraire que j’ai reçu en privé de la part de beaucoup de membres de Rois et Reines de France qui on peut le comprendre, n’ont pas voulu se mêler à ce qui ressemble à un règlement de compte envers un auteur qui jusqu’ici a été magnanime et le reste encore. Je pense ainsi qu’il est temps de clore le débat, j’imagine que vous allez continuer votre acharnement, ce sera sans moi, j’ai fait un saut dans ce groupe, c’était une expérience surréaliste. À l’heure où je vous écris, le service juridique de ma maison d’édition a pris connaissance des pages que vous avez diffusées illégalement sur ce site et des insultes que votre ami costumier et vous, avez proférées à l’encontre de mon travail. Les gens passionnés d’histoire ont une éthique et en général un certain respect même pour ceux envers qui ils nourrissent une certaine détestation. Vous n’avez pas respecté les règles du jeu. Tous ces interrogatoires suffisent. J’ai répondu à vos questions. Je ne serai plus votre interlocutrice désormais, celle à qui vous sommez de répondre comme si j’étais à un tribunal, assistant à mon jugement ou plutôt mon lynchage. Postez autant que vous le souhaitez, mes lecteurs sont déjà au rendez-vous et sont les seuls à qui je dois des comptes à présent. Vous ne m’avez pas lue.

 

Benjamin Warlop Sophie Herfort :«Tout d’abord, je tiens à préciser que je n’avais nulle obligation de m’abaisser à subir cet affreux pugilat, mené tambour battant par deux personnes dont l’une a survolé mon livre et l’autre ne l’a jamais lu».
=> Merci d’avoir pris cette peine, c’est tout à votre honneur. Ce qui l’est moins c’est de prétendre que j’ai survolé votre livre au vu des si nombreuses «coquilles» que j’y retrouve. C’est donc à vos relecteurs que vous devez reprocher de l’avoir survolé.
Sophie Herfort : «En vérité, ce message s’adresse surtout à Benjamin Warlop qui pense que Louis XVI était un homme maigre ! Il faut comprendre un peu mon désarroi.»
=> Votre désarroi, à ce point-là? Je me réfère seulement à l’image du Roi en costume de sacre (1777) que le peintre Duplessis a dû étoffer car il le trouvait trop malingre pour incarner ce rôle de père du pays. Sophie Herfort :«Tout d’abord Monsieur Warlop pense qu’il y a confusion d’anecdote autour de Benseval, lorsqu’il est congédié (non pas exilé) par la reine sans faire référence à la petite histoire sur laquelle il se base mais j’ai retrouvé les passages concernés de mon texte qui sont exacts. Besenval n’est pas Lauzun et Lauzun n’est pas Besenval. Aucune confusion là-dessus, ni dans mon livre, ni ailleurs.»
=> Même pendant la grippe de mars 1779?
Sophie Herfort : «Concernant Lauzun, celui-ci fut congédié après avoir réclamé avec audace la restitution d’une plume d’Héron, prêtée à la reine par l’intermédiaire de Mme de Guéménée, alors gouvernante des enfants royaux à l’époque. Tout cela est aisément vérifiable, je vous l’assure…»
=> Il n’a jamais voulu récupérer sa plume de héron.
Sophie Herfort: «Alors de quoi parle au juste votre ami costumier ? Serait-il perdu dans ses soieries vaporeuses à divaguer entre deux robes en percale de Rose Bertin ? »
=> Je parle de ce que j’ai lu sans le survoler dans votre livre… La suite plus tard… Mademoiselle Bertin s’appelle Marie-Jeanne… Je vous invite à la lecture du livre de Michelle Sapori 

Olivia Legrand
«DROIT DE REPONSE – (3 parties)Tout d’abord, je tiens à préciser que je n’avais nulle obligation de m’abaisser à subir cet affreux pugilat, mené tambour battant par deux personnes dont l’une a survolé mon livre et l’autre ne l’a jamais lu et s’en vante allègrement, tout en se permettant illégalement d’en diffuser la teneur publiquement. Dans une critique littéraire, cela ne s’est jamais vu.»
=> Je ne vous attaque pas d’un point de vue littéraire, mais historique. Vos données sont erronées, c’est un fait. Je vous le répète : je ne lirai votre livre qu’une fois gratuit. Je me refuse de payer, comme je refuserais d’aller au cinéma devant une bande-annonce qui m’aurait plus que choquée. Cela ne m’empêcherait pas de souhaiter le voir pour critiquer tout à mon aise. Et peut-être que cette première impression se serait finalement montrée injustifiée. Donc dans tous les cas, quand je pourrai enfin vous lire gratuitement, je vous étudierai en détails, avec sérieux et critiquerai en fonction. Au cas où finalement j’apprécierais votre travail en entier, je ne manquerai pas de vous en faire part, c’est la moindre des choses. Enfin, vous ne pouvez pas me reprocher de vouloir prouver mes dires. C’est quand même la base en Histoire. Et je me justifie par vos propres mots. En quoi donc peuvent-ils vous déranger ?
« Ensuite, votre ton impérieux Mme Legrand laisse à penser que vous vous croyez à la tête du Comité de salut public…» Encore une fois ce n’est pas moi qui salit Marie-Antoinette. J’emploie un ton autoritaire parce que, et je me répète encore, je ne puis supporter que l’on puisse insulter Marie-Antoinette mais également son mari, et sûrement plein d’autres. Mais en effet, je n’ai pas lu votre livre. La faute à qui ?Vous vous êtes mis à dos les connaisseurs de Marie-Antoinette. Vous êtes même douée puisque vous avez réussi à provoquer l’unanimité dans un petit monde qui pourtant s’entredéchire habituellement. Je vous tire mon chapeau. Vous n’avez jamais cherché à convaincre ce public mais à attirer des gens crédules attirés par les sujets racoleurs. C’est votre choix. Vous me permettrez d’avoir le droit d’être furieuse. J’attends des publications sur Marie-Antoinette de nouvelles sources ou une analyse originale d’un certain point de vue. Or vos sources ne sont pas nouvelles (sinon elles ne seraient pas sur wikisource !) ni vos analyses originales puisque vous reprenez tout ce qui a été écrit de pire sur Marie-Antoinette. Donc oui j’ai le droit d’être fâchée. Vous avez fait de la pub mensongère à Benjamin Warlop qui a aussi le droit d’être fâché et de le dire. Mon ami vous a déjà répondu le concernant. Je souligne le fait qu’il vous a fallu près d’une semaine pour exprimer votre ressenti à son égard . Admettez que nous sommes plus réactifs. Au passage, vous lui avez dit il y a quelques semaines «Votre avis compte.» Or dès qu’il l’a donné, vous lui avez coupé tous moyens pour vous l’exprimer. Et qu’est-ce que c’est que cette manière d’essayer d’écraser les gens sur leur niveau d’instruction ? Vous avez vu celui de vos défenseurs sur cette page ? Vous rigolez j’espère à vouloir systématiquement donner des leçons là-dessus ? Cet argument ne tient plus, vous avez tout tenté pour nous l’imposer mais vous savez très bien que vous ne faites que vous enfoncer en l’employant. Je vous ai répondu sur la maigreur/grosseur de Louis XVI. Oui vous vous êtes trompée. Besenval n’a jamais été congédié par la reine, ni rien tenté de déshonorant à son égard. Lauzun oui. Pas Besenval. La scène où il se rend dans les cabinets privés de la reine ne raconte en rien une tentative de «rapprochement». Il dit juste qu’il est surpris qu’elle ait pu se procurer de telles pièces. Pièces qui étaient réservées jusque-là au premier valet du roi. D’où sa surprise de découvrir que Marie-Antoinette tenait à une vie privée. Mais en tout bien tout honneur. Il n’y a aucune colère de Marie-Antoinette qui transparaît dans ce témoignage. Je ne dis pas qu’elle n’a jamais eu de brouilleries avec Besenval. Mais elles furent d’ordre politique. Il a toujours été dans son cercle rapproché. D’où la confiance qu’elle lui porte afin de régler au mieux cette histoire de duel au sein de la famille royale. Lauzun lui a pris ses rêves pour la réalité, comme tant d’autres. Besenval, Vaudreuil ou Ligne étaient trop intelligents pour y croire. Mais je vous rassure Lauzun est resté bien en cour longtemps encore. Malgré ce qu’il en dit dans ses mémoires. D’autres témoignages, sur le fait, le prouvent. Pour votre dernière phrase : vous essayez d’insulter avec esprit mais cela ne fonctionne pas. Pour quoi ? Parce que vous vous trompez encore historiquement. D’une part, c’est Marie-Jeanne Bertin, d’autre part il ne doit rester en tout et pour tout que deux robes sûres de cette dame. Si c’était Benjamin qui en était l’heureux propriétaire, vous le traiteriez autrement !!!

Ce qu’en fait Sophie Herfort en attribuant cette mésaventure à Besenval

Le 25 mai 2021

Benjamin Warlop : Merci, Jacqueline, Olivia m’avait déjà fait part de cette répartie de votre fille. Elle y a largement répondu aussi. Que pourrais-je y ajouter sans faire de doublon? Je plussoie aux arguments d’Olivia. Si Sophie n’a pas su lire Emmanuel de Valicourt, c’est navrant, mais le résultat est dans son livre, et elle se trompe pour avoir préféré l’évocation ultérieure (quarante années plus tard !) de la scène par Henriette Campan à la version de Besenval lui-même. Guidé par monsieur Campan, dont j’attends toujours la source des mémoires promise il y a quelques jours, Besenval a effectivement, en 1778, visité les petits appartements de la Reine en s’étonnant qu’elle ait osé se les attribuer. Cela ne se passe pas dans le cabinet de la Méridienne, delphinalement décorée en hommage à la naissance de Louis-Joseph en 1781. Je vous dis, je répète sans doute les propos d’Olivia. Donc , force est de constater que ma critique rédigée à brûle-pourpoint il y a une semaine, ne se trompait pas quant à la confusion que Sophie a commise.

Olivia Legrand à Sophie Herfort Vous avez suivi la «description» de Catherine Hyde, femme de chambre à partir de 1788 de la princesse de Lamballe. Des mémoires publiés en 1846. La duchesse de Northumberland, invitée au mariage et qui écrit une lettre décrivant ces noces, donne elle une description quasi en direct. Elle dit :
«Je m’attendais à le trouver horrible, mais au contraire sa tournure m’a beaucoup plu. Il est grand et élancé, avec un visage très intéressant et l’air d’avoir de l’esprit. Son teint est plutôt pâle, et ses yeux sont grands. Il a une grande quantité de cheveux blonds qui vont très bien avec son visage, et sa silhouette m’a paru très élégante.»
Et plus loin, décrivant le repas :
« Le dauphin mangeait très peu, semblait tout à fait pensif, et restait à regarder son assiette en jouant avec son couteau.»
Puisque vous tenez tant à me donner des leçons sur les sources, je vais vous apprendre une règle essentielle : les sources doivent se comparer et être analysées. Entre une source écrite sur le moment, par un témoin direct et une autre d’une personne qui n’a jamais approché Louis XVI avant 1788, mon choix est rapide. Le duc de Croÿ aussi montre que Louis XVI n’est pas si myope que cela (pour rappel il était excellent tireur) et que présent à ses levers et couchers, il témoigne qu’il est de corps aussi bien que Louis XV. Je n’ai pas le temps ce soir pour le reste mais rassurez-vous, je n’y manquerai pas.

Sophie Herfort : Je n’ai pas les mêmes références, il ne sera jamais possible de s’entendre sur le sujet. L’ entretien avec Besenval au sujet d’Artois s’est mal terminé. Vous ne vous arrêtez qu’aux descriptions de Monsieur Campan (appartements privés de la reine)… Concernant Marie-Jeanne Bertin, celle-ci était aussi surnommée « Rose » vous semblez l’ignorer suffisamment pour oser me reprendre… Une autre provocation là encore ?

Olivia Legrand à Sophie Herfort : Rose est un surnom donné au XXIème siècle. Quant à monsieur Campan, j’ignorais qu’il ait écrit quelque chose. Je suis preneuse s’il existe une source de sa main. Car lui était un réel homme de confiance de Marie-Antoinette. Je serais donc extrêmement intéressée par le lire lui plutôt que sa belle-fille !

Sophie Herfort : En vérité, par élégance, les membres de ce groupe n’ont pas envie de prendre part à cette tentative avortée de mise à mort. Je ne vois pas vos soutiens ici non plus à part votre ami que je devine (ghosté) … Ce règlement de compte n’invite pas à participer. C’est un huis-clos. Vous n’émettez que des critiques, cela n’intéresse que vos quelques partisans qui n’interviennent même plus. C’est lassant à force tout ce procès d’intention. Dommage car vos sources m’intéressent quand même, il y a des éléments à relever mais tout est gâché.  » Oui absolument ! Il y a des personnes minces avec ce problème et l’équitation n’est pas un frein. Je n’aborde que son ventre gonflé et ne dis à aucun moment que Louis XVI est gros.« 

 

Olivia Legrand à Sophie Herfort Avant de «ghoster» les gens, prenez garde qu’ils ne vous hantent ! Juste cela : Je n’ai pas le temps de vous répondre mais je n’y manquerai pas. Juste un point : Louis XVI était maigre jusqu’à ses vingt-cinq ans. Il est facile de se renseigner quand on consulte sérieusement les sources.

Le 26 mai 2021

Sophie Herfort : Maigre ou pas, ses médecins personnels lui trouvaient du ventre. Avait-il une hernie ?

Olivia Legrand à Sophie Herfort Pas au moment du mariage. Quant à la hernie… Croyez-vous vraiment qu’on peut être un cavalier émérite avec une hernie ?

Olivia Legrand à Sophie Herfort Vous admettez vous-même que nos sources sont bonnes. C’est déjà pas mal parce que vous partiez dans l’idée, vous et vos défenseurs, que nous étions incultes et en aucun cas légitimes. Or vous avez été obligée de constater que nous en savons beaucoup plus que vous sur Marie-Antoinette. Donc oui, nous avons le droit de critiquer. Cela vous déplaît, déplaît à d’autres, et alors ?

Jacqueline Herfort Vous n’êtes pas très malin, M Warlop dit Warlop-Majesté, vous conviez tous vos petits amis pour comme certains le disent, « décapiter un auteur », Sophie n’est pas la première que je sache. Vous êtes sur le site de Rois et Reines de France, et rien que ce titre devrait vous amener à un peu plus de noblesse et de retenue de votre part dans vos échanges. Comme vous dites  » J’ai à cœur de lire tout ce qui concerne Marie-Antoinette afin de pouvoir le critiquer en connaissance de cause » je rajouterai même envers et contre tout. Si cela est uniquement le but de votre vie, je vous plains sincèrement. Bonne nuit M. Warlop.

Benjamin Warlop à Jacqueline Herfort , ai-je l’air de ne me consacrer qu’à cette passion ? En réalité elle m’occupe beaucoup… mais de tant de manières ! Ne prenez pas la peine de me plaindre, car cette passion en génère tant d’autres. Je ne m’ennuie jamais. Je ne suis pas que sur cette page. Mais il me semble légitime de vouloir connaître ce qui se passe sur celle-ci. Majesté était mon pseudo sur les fora. Je ne l’ai jamais associé à mon nom. Je ne sais si la personne qui voit l’Histoire du côté de la braguette n’est pas plus à plaindre que moi. Car franchement, à survoler le livre de Sophie, pour la citer, je retombe sur des inepties. Et elle a beau avoir pris la peine de se justifier, elle ne mérite pas (encore?) que je change ma critique d’un iota. Bonne nuit madame Herfort .

Le 27 mai 2021

Jacqueline Herfort Puisque vous êtes si génial, écrivez donc votre propre livre ! Vos amis vous le demandent pourtant.. Je sais bien que vous ne changerez pas votre critique, puisque c’est votre fond de commerce.

Benjamin Warlop à Jacqueline Herfort , je ne vends pas ma science, moi. Je la partage bénévolement. Ecrire sur Marie-Antoinette, je l’envisagerai(s) volontiers. Mais mes connaissances sont en perpétuelle évolution de par mes lectures ( certaines du moins), d’où, pour le moment le choix de l’Antoinetthologie. Encore une fois, vous m’attribuez les travers lucratifs de votre fille en parlant de mon fond de commerce.

Jacqueline Herfort à Benjamin Warlop Quand on dit  » c’est votre Fond ou Fonds de commerce » c’est une expression qui signifie, en l’occurrence, que votre succès sur FB repose sur la « décapitation » des auteurs écrivant sur Marie Antoinette. Rien à voir avec votre magasin.

Benjamin Warlop à Jacqueline Herfort , merci pour vos explications… mais je connais la langue française. Je suis ami avec de nombreux auteurs, ceux que j’apprécie. En l’occurrence, ce n’est pas moi qui vends un livre d’Histoire truffé de coquilles… pour être gentil. Le présent débat montre combien ce livre n’est pas recevable. Sophie Herfort n’a pas su lire l’excellent livre d’Emmanuel de Valicourt (qui fait pourtant partie de sa bibliographie) , Les Favoris de la Reine, dans l’intimité de Marie-Antoinette, la vraie, cette fois. Sophie aurait su nuancer les sources et ne pas confondre Besenval avec Lauzun si elle avait fait preuve d’un minimum de bonne foi… Mais le brûlot fait partie de son fonds de commerce, non? Sylvie Le Bras Chauvot a signé un merveilleux livre qui est aussi une référence absolue dans l’approche de Marie-Antoinette. Je ne me suis jamais empêché d’honorer son travail ici ou ailleurs. Michelle Sapori aurait appris à Sophie le vraie prénom de Rose Bertin si elle avait daigné la lire. Cécile Berly, une dix-huitièmiste accomplie, elle, contrairement à la néophyte qu’est Sophie Herfort, a signé un article remarquable et bouleversant sur « le sang malade de Marie-Antoinette ». Ce qu’en a tiré Herfort est aussi faux que répugnant, et son chapitre «La dette du plaisir» est une démonstration homophobe, répréhensible par la loi depuis 2020. Il ne s’agit pas là de supposition paranoïaque puisque la preuve est à vendre 19€. Elisabeth de Feydeau, encore, même si certaines de ses idées dans ses interventions dans Sous les jupons de l’Histoire qui datent aujourd’hui ont peut-être évolué, offre une approche sensible, puisqu’olfactive de l’univers de la Reine. Un parfum que je préfère au stupre développé dans les 350 pages (et pas 400 ! , il est pourtant facile de vérifier la chose) par Sophie Herfort. J’ai des contacts réguliers avec Simone Bertière et avec Evelyne Lever à qui j’ai dit mon admiration pour certains de ses travaux, mais je ne lui ai pas caché non plus ma déception pour l’un d’eux en particulier. Vous voyez, Jacqueline Herfort, qu’en systématisant de façon présomptueuse l’attaque faite à votre fille, vous vous trompez encore et toujours !

Olivia Legrand à Sophie Herfort Ce que je veux dire, c’est que pour quelqu’un qui refuse de nous parler, en tout cas pour Benjamin Warlop, vous vous en préoccupez beaucoup ! Au point de faire des recherches sur nos personnes, pourtant indignes à vos yeux !

Olivia Legrand à Jacqueline Herfort Pourquoi vous référez-vous toujours, votre fille et vous, à la noblesse ? J’avais compris qu’il n’y avait que les titres qui vous intéressent mais tentez un peu de crédibilité quand même. Parler de «trifouiller le poireau» à propos de Louis XVI, est-ce faire preuve de noblesse ? Ce n’est même pas de l’humour… N’est-il pas légitime de s’en plaindre sur une page publique intitulée Rois et Reines de France ?

Jacqueline Herfort à Olivia Legrand votre passion obsessionnelle pour Marie Antoinette vous égare . Ne confondez pas commentaires d’auteur et propos diffusés dans un livre.

Benjamin Warlop à Jacqueline Herfort vous n’avez donc pas lu votre fille, ce qui explique que vous la défendiez encore, gentille maman que vous êtes. Depuis une semaine, nous avons fait le travail de vérification que Sophie Herfort n’a pas daigné faire par elle-même, se référant à «l’exigence et à l’efficacité» d’une personne que je ne renommerai pas ici pour ne pas l’offenser. Ce que nous qualifions de torchon n’est donc pas un livre d’Histoire, mais c’est un roman. Ainsi, «la duchesse de Polignac(qui, après le 4 juin 1789), noie sa dépression dans la plus sale débauche» n’est que le fruit de l’imagination (inspirée par les dessins pornographiques de l’époque, bravo la pertinence de source ! ) de votre fille. De là, à y voir de l’autobiographie… mais je ne ferai pas (encore) ce raccourci malheureux qui a pourtant été la manière de Sophie Herfort de construire son ordure de livre !

Le 28 mai 2021

Jacqueline Herfort à Benjamin Warlop votre travail de décapitation selon les dires de vos amis… ?

Benjamin Warlop à Jacqueline Herfort , il s’agit de détruire la désinformation à sa base, pour ne pas nuire à l’Histoire. Appelez cela comme vous voulez, moi je suis absolument ravi de ma collaboration toujours en symbiose avec Olivia ! J’aurais fait pareil avec Hébert, Fleischmann, on a fait pareil avec Evelyn Farr ? Mais là c’est mon attitude que vous jugez encore. Défendez donc, pour une fois, les lignes abjectes de votre fille.

Jacqueline Herfort à Benjamin Warlop  1/Pour la lecture du livre, je l’ai lu avant vous
2/Laissez donc les lectrices et lecteurs se faire leur propre idée. Ils peuvent analyser eux mêmes ce qui est vrai, faux, ou édulcoré. On a à l’heure actuelle tous les instruments de connaissance pour vérifier s’il y a un doute historique et en discuter
3/Ne sous estimez pas l’intelligence des lectrices et lecteurs.

Benjamin Warlop à Jacqueline Herfort , je ne me vanterais pas d’être, en partie, ainsi responsable de l’impasse dans laquelle se trouve Sophie Herfort.«Ne sous estimez pas l’intelligence des lectrices et lecteurs.» N’est-ce pas vous qui les prenez pour ce qu’ils ne sont pas?

Jacqueline Herfort Commentaire abscons.

Le 29 mai 2021

Benjamin Warlop à Jacqueline Herfort vous allez agacer Niko Vega…

Sophie Herfort à Olivia Legrand : Mais de quelle confusion vous parlez au juste ? Les anecdotes de Besenval et de Lauzun sont bien distinctes, quel événement aurais-je soit-disant imputé à l’autre ? J’ai bien vérifié mes sources et je ne sais toujours pas le point exact et précis de la confusion que vous me reprochez. J’attends toujours vos explications.

Olivia Legrand  à Sophie Herfort Mais parce que vous pensez que Besenval aurait été congédié par la reine après leur discussion sur le duel entre le comte d’Artois et le duc de Bourbon. Or pas du tout ! Tiré des mémoires de Besenval. Où voyez-vous Marie-Antoinette courroucée par l’audace d’un courtisan ? Elle lui marque au contraire sa confiance pour régler un problème délicat. Vous me répondrez sûrement qu’il ne s’agit que d’une source imprimée et que vous avez eu vous accès à l’original manuscrit qui montre une scène totalement différente avec un Besenval entreprenant. J’attends une preuve. En tout état de cause vous mélangez bien les deux anecdotes : celle-ci et celle de Lauzun lui effectivement viré de l’appartement de la reine pour outrage à sa personne.

Sophie Herfort : Ne vous en déplaise, Besenval a bien été congédié par la reine lors de ce fameux entretien aux appartements privés de la reine (cabinet de la Meridienne). M. de Campan lui dit:
 » Elle (reine) vous attend, reprit-il, avec beaucoup d’impatience » (cf. Mémoires de Besenval p. 59-60, editions Firmin Diderot).
Je poursuis ? Une fois dans l’antichambre, Besenval croit à une avance déguisée. La reine lui répond de façon très froide : » Levez-moi Monsieur, le roi ignorera un tort qui vous ferait disgracier pour toujours ! » (cf. Madame Campan, Mémoires sur la vie privée de Marie-Antoinette p. 190 Mercure de France, coll. Temps retrouvé 1999).
La reine depuis ce jour gardera ses distances avec Besenval. Vous maintenez toujours qu’il n’a pas été congédié ? D’ailleurs, le mot a été initialement choisi par votre ami. Je me suis contentée de décrire la situation en page 152 de mon livre. En définitive, la reine met fin à l’entretien en précisant bien qu’elle cherchera un peu plus tard à le consoler :
« Il est doux d’avoir des amis… » (cf. Mémoires de Madame Campan).

Olivia Legrand Mais enfin, vraiment vous confondez tout ! Où voyez-vous le lien entre ce qu’écrit Besenval et ce que dit dans ses mémoires madame Campan à son propos ? Déjà l’entrevue entre Besenval et Marie-Antoinette ne se déroule pas dans la Méridienne mais dans la pièce aujourd’hui appelée «appartement de Fersen» derrière le billard. Relisez ce passage, il parle bien que c’est après le billard. La Méridienne était alors un escalier qui reliait l’appartement de la reine à celui du dauphin au rez-de-chaussée; devenu ensuite celui de Monsieur. Cette pièce sera créée après la naissance de Louis-Joseph. L’anecdote citée date de 1778. Donc trois ans trop tôt.

Sophie Herfort : La question est de savoir s’il a été congédié ! Et la réponse est oui !!! Et encore oui !!! Je ne confonds rien du tout, les références de Besenval et de celles de Madame Campan évoquent bien le même événement. Maintenant, donnez-moi vos sources pour les appartements concernés et l’événement relatif à Besenval, j’apprécierais.

Olivia Legrand à Sophie Herfort : C’est dommage que pour une historienne de l’art vous ignoriez Marguerite Jallut. Et tant d’autres !

Olivia Legrand à Sophie Herfort Ce n’est pas ce que dit Besenval. Mais apparemment vous avez préféré prendre la version la plus racoleuse de la même anecdote.

Le 30 juin 2021

Olivia Legrand à Sophie Herfort Mais Besenval n’a pas été congédié !!! C’est madame Campan qui l’affirme quarante ans plus tard ! La faveur de Besenval n’a jamais été démentie ! Alors que celle de madame Campan… Pour Besenval, je vous ai copié la page de ses mémoires. Que vous faut-il de plus ? J’ai aussi sous mes yeux celles de madame Campan. Non je ne confonds pas, moi ! Je veux bien vous accorder le fait que vous n’ayez pas confondu les deux anecdotes, celles de Besenval et Lauzun mais vous avez mélangé tout cela avec le point de vue de Campan qui ne tient pas la route. Et d’ailleurs elle-même ne dit jamais que cela s’est passé dans la Méridienne. Vous ne connaissez même pas la disposition et les différentes étapes de travaux des appartements de la reine !

Olivia Legrand à Sophie Herfort : Tout cela pour apporter un côté sulfureux ! Si vous aviez si bien lu madame Campan, concernant cet extrait, à la même page !, vous avez oublié ceci, d’extrêmement important :
«Dix feuillets imprimés de la femme lamotte, dans ses impurs libelles, ne contiennent rien d’aussi nuisible au caractère de Marie-Antoinette, que ces lignes extraites par un homme qu’elle honorait d’une bienveillance aussi peu méritée.»
Sauf que c’est la brave Henriette qui salit cette scène et non pas Besenval. Et donc vous, vous faites pire que la lamotte, dixit madame Campan !!!

Olivia Legrand Mais enfin relisez donc cette page !

Olivia Legrand Besenval n’a pas été congédié. Où lisez-vous cela ? Chez Campan on est d’accord. Mais vous entre deux versions vous prenez celle qui raconte l’événement quarante ans plus tard ? C’est fou d’être aussi bornée. C’est devant vos yeux, mais non ! Et en plus la Méridienne n’existait pas. Vous vous ridiculisez vraiment.

Benjamin Warlop à Olivia, c’est tellement décevant de la part de quelqu’un d’aussi diplômé… Moi qui espérais en apprendre pour compléter mon médiocre cursus selon Sophie Herfort qui te conseillait de changer d’amis pour cette cause-même … ?

Le 1er juin 2021

Olivia Legrand à Sophie Herfort «les mémoires du chevalier DS étaient un fake alors que ceux-ci sont bien référencés à la BNF !» Vous le faites exprès ou quoi ? Les albums Astérix sont bien référencés à la BNF. non ? Allez-vous pour autant les prendre en référence pour comprendre la période gallo-romaine ? Rassurez-moi.

Olivia Legrand à Sophie Herfort : C’est vous qui me mélangez tout depuis le début. Les jugements hâtifs, les erreurs que je ne cesse de pointer ! Et je ne compte plus les insultes écœurantes dont mon travail a fait l’objet depuis le début. Restons-en là.

Olivia Legrand à Sophie Herfort Où avez-vous constater des erreurs de ma part ? Les jugements hâtifs ? Vous rigolez ? Qui ne juge les gens que par leurs diplômes ?

Le 2 juin 2021

Olivia Legrand à Sophie Herfort : Votre ami ment ! Je n’étais pas en train de travailler sur Marie-Antoinette en 2005. Je n’ai jamais fait cette déclaration. C’est du gros n’importe quoi. C’est vous qui mélangez tout depuis le début. Les jugements hâtifs, les erreurs que je ne cesse de pointer chez vous ! Et je ne compte plus les insultes écœurantes dont mon travail a fait l’objet depuis le début. Restons-en là.

Olivia Legrand Décidément vous avez un gros problème de confusion ! Benjamin Warlop n’a jamais dit que c’était vous qui lui avez dit qu’il était dentiste !

Benjamin Warlop à Olivia Legrand , non , c’est le Docteur Belaiche-Daninos que j’ai vu le 5 novembre 2005. Je sais bien que Sophie Herfort n’a entamé le XVIIIe que depuis quelques mois ! Je ne sais plus qui m’a donné cette information, mais je sais bien que je n’ai pas vu Sophie Herfort à ce colloque !

Benjamin Warlop Cependant, si ce jour de 2005, on ne m’avait dit que le docteur Belaiche était le dentiste du comte de Paris, j’aurais pu le penser à votre bibliographie, Sophie Herfort, où vous l’orthographiez avec deux « l », or il existe à Paris un docteur Bellaiche orthodontiste. Une «coquille» encore et toujours, me dira Sophie Herfort ? Coquille pour coquille on va dire qu’il s’agit d’une mise en abîme? ?

Le 3 juin 2021

Olivia Legrand Sophie Herfort «les insultes écœurantes» Encore une fois c’est vous qui les avez faites à l’encontre de Marie-Antoinette. Avant d’écrire sur un personnage historique majeur, essayez d’être irréprochable, cela évitera de tels désagréments.

  • Sophie Herfort Voilà de quelle façon les amis de Monsieur Warlop reprennent le flambeau pour «décapiter les auteurs» dixit Stéphane Baccarrère ! Et non pas « les idées » comme vous le disiez à tort Mme Legrand. Voici ce qu’on peut lire d’horrible sur sa page accessible au public. Une honte ! C’est un appel au meurtre.

 

  • Olivia Legrand Je n’y vois pas du tout un appel au meurtre mais le fait que Benjamin vous a bien, historiquement, décapitée. Eliminée si vous préférez. Historiquement. Comme je le fais et comme je me régale de le faire. C’est trop facile avec vous. Comment voulez-vous rester crédible après toutes les erreurs cumulées de votre part ? Et je ne parle pas de votre mauvaise foi. En plus le mot décapité n’est pas de Benjamin Warlop. Vous montrez encore une preuve qui prouve le contraire de vos dires.
  • Sophie Herfort Votre ami dans l’impulsion ne réfléchit pas quand il entreprend des actions douteuses. Vous vous êtes fourvoyés dans le mensonge, les erreurs… et tout ce qui s’ensuit. L’ami de votre protégé me m’a pas « décapité », votre acolyte à la réputation douteuse s’est noyé dans ses attaques démontées soigneusement par mes soins. Vous vous régalez ? Ne seriez-vous pas un peu perverse ? Je me félicite de vous avoir montré à quelle point vous êtes incohérente jusqu’au bout mais je ne suis pas assez perverse pour « me régaler », je vous en laisse le soin à vous seule. Au lieu d’ennuyer les auteurs, essayez donc de vous faire publier et préfacer par un historien de référence tel que Jean Tulard qui a bien lu mon livre et l’a fort apprécié en plus de le préfacer ! Allez taquiner la plume au lieu de vous lancer dans de grands débats stériles auxquels personne ne prend part.1
    •  
    • Olivia LegrandSophie Herfort https://www.marie-antoinette-antoinetthologie.com/la…/J’estime tout à fait taquiner la plume. Mais je me fiche complètement de la gloriole et de l’argent que je pourrais en récolter. Par contre oui je prends plaisir à attaquer ceux qui insultent Marie-Antoinette. Vous payez pour hébert, fouquier-tinville, la motte et fleishmann.Je vous concède que vous ferez date dans l’historiographie de Marie-Antoinette. Mais certainement pas dans le sens que vous avez souhaité.

Le 4 juin 2021

Olivia Legrand Mais enfin c’est votre Niki Vega qui demandait auparavant son niveau d’études !!! Ayez au moins l’honnêteté de ne pas couper les preuves !

Olivia Legrand Vous m’inquiétez terriblement !!! Non seulement vous ne mettez pas ce qui précède et explique donc la demande de mon ami mais en plus vous poster la menace que fait votre défenseur à son encontre !!!

Benjamin Warlop à Olivia Legrand dans cet échange, Sophie Herfort manipule donc les données de la même manière que dans son ouvrage. Illustration de malhonnêteté ! ?

Le 5 juin 2021

Sophie Herfort : J’hallucine! C’est votre grand ami Warlop qui a demandé à un de mes lecteurs Niko quel était son niveau d’études ! Vous semblez l’oublier. Moi pas, c’était méprisant d’ailleurs. Il a évoqué le niveau BEPC pour cette personne. Une honte ! Quant à moi je vous ai demandé si vous étiez spécialisée en Fragonard / peinture XVIII e car vous aviez affirmé l’être et j’ai decouvert que votre thèse n’avait rien à voir avec cela.

Olivia Legrand C’est moi qui ai affirmé que Niko Vega avait un niveau brevet des collèges après avoir lu de sa part «vous fête des complexes». Excusez-moi mais même mes CM2 n’oseraient pas…. Et vous avez bien commencé à nous demander notre niveau d’études avant son intervention ! Donc s’il vous-plaît ! Encore des confusions… Je n’ai jamais affirmé être spécialiste dans la peinture du XVIIIème siècle mais j’ai dit que j’étais détentrice d’une maîtrise d’histoire de l’art. Donc oui je m’y connais un minimum… Et je n’ai jamais dit avoir réalisé une thèse mais deux mémoires : un universitaire sur les tissus et ornements des naissances et baptêmes royaux de Henri IV à Louis XVI s’appuyant forcément sur des documents iconographiques (donc des tableaux !) et et un autre de l’éducation nationale sur la manière d’étudier la révolution à l’école à partir de documents iconographiques (donc encore des tableaux du XVIIIème siècle !). Mais cherchez bien mes messages, jamais je n’ai affirmé être une spécialistes, je n’en ai jamais eu la prétention. Par contre j’estime avoir autant de connaissances que vous en la matière. Et pour Marie-Antoinette elle-même, là oui j’affirme haut et fort en être spécialiste, tout comme l’est Benjamin Warlop ou Marie-Rose Demasy. Et nettement plus que vous. C’est indéniable et je revendique mon arrogance en la matière

Olivia Legrand Entre demander le niveau d’études à quelqu’un suite à la même réclamation et un autre qui menace par violence, vous ne voyez pas où c’est le plus grave ?

Benjamin Warlop Ma demande était juste en retour, puisque Niko Vega m’accusait, je voulais savoir à qui j’avais affaire…

Olivia Legrand Des menaces de mort ??? Vous inventez !!! Décapiter les idées de ces auteurs, nuance !!!

Benjamin Warlop à Olivia, je parlais en effet au sens figuré… A-t-on tué Evelyn Farr? Pas que je sache …. Sophie Herfort, vous êtes dans un état inquiétant à ne pas voir la nuance de ce genre de propos qui ne vient d’ailleurs pas de moi ?

Olivia Legrand J’ai prouvé, preuve à l’appui, qu’il n’a pas été congédié. Alors que toutes vos preuves à vous ne font que confirmer vos erreurs !

Olivia Legrand Je n’y vois pas du tout un appel au meurtre mais le fait que Benjamin vous a bien, historiquement, décapitée. Eliminée si vous préférez. Historiquement. Comme je le fais et comme je me régale de le faire. C’est trop facile avec vous. Comment voulez-vous rester crédible après toutes les erreurs cumulées de votre part ? Et je ne parle pas de votre mauvaise foi. En plus le mot décapité n’est pas de Benjamin Warlop. Vous montrez encore une preuve qui prouve le contraire de vos dires.

Sophie Herfort : Référez-vous à la page 300 de mon livre où je précise que le Dr Belaiche-Daninos est bien medecin. Il n’est pas dentiste comme l’a prétendu votre ami qui défausse sa bourde ridicule sur moi. Au fait, en 2005, je ne connaissais pas Monsieur Warlop donc vos mensonges, l’illégalité de vos actions que vous revendiquez, vos confusions et autres calomnies tombent à l’eau. Monsieur Warlop n’aura pas le loisir de m’inclure dans sa maigre liste « d’auteurs décapités » dont il se vante ingénuement sur les réseaux sociaux sous le titre ronflant de Majesté » ! ?

Olivia Legrand : Votre message n’a strictement aucun sens. Et après vous avez osé plusieurs fois évoquer ma santé mentale… Comme je vous le dis et répète il s’appelle Paul et vous prouvez par vous-même que vous vous tromper là-dessus ! Benjamin Warlop a cru comprendre en 2005, pas par vous, mais par quelqu’un que vous ne connaissez pas qu’il était dentiste. Il s’est trompé, ok, pourquoi pas. Il a fait confiance en cette personne. Il a donc eu le malheur de vous signaler qu’il était dentiste. Vous lui prouvez le contraire. C’est la seule chose sur laquelle vous pouvez l’attaquer. Or nous sommes très loin de Marie-Antoinette. Vous vous l’appelez Pierre à plusieurs reprises. Vous avez tort et vous insistez encore et encore dans votre erreur, preuve à l’appui par vous-même. Or vous, ce n’est pas du tout mais alors pas du tout la seule erreur.

Le 6 juin 2021

Sophie Herfort : Balayez le pas de votre porte ! Voici comment « Sa Majesté costumier » questionne mes lecteurs sur leur CV. Sur Internet, je découvre qu’il a un DEUG, il devrait mettre à jour ses fichiers si depuis il a sa licence d’histoire.

 

Olivia Legrand : Mais enfin c’est votre Niko Vega Vega qui demandait auparavant son niveau d’études !!! Ayez au moins l’honnêteté de ne pas couper les preuves !

Benjamin Warlop Cette manie de la victimisation des auteurs qui prennent leur lectorat pour des imbéciles et qui se trouvent salis lorsque cela leur revient en pleine face comme un boomerang m’exaspère !

Jacqueline Herfort Vous n’avez pas réussi dans votre entreprise de démolition c’est pour cela que vous êtes exaspéré…

Benjamin Warlop Le pire c’est que vous pensez ce que vous dites en plus , Jacqueline Herfort !

Le 7 juin 2021

Olivia Legrand : Vous m’inquiétez terriblement !!! Non seulement vous ne mettez pas ce qui précède et explique donc la demande de mon ami mais en plus vous postez la menace que fait votre défenseur à son encontre !!! Entre demander le niveau d’études à quelqu’un suite à la même réclamation et un autre qui menace par violence, vous ne voyez pas où c’est le plus grave ?

Sophie Herfort : Mais ma pauvre petite, des coquilles de cet acabit sur le prénom d’un médecin et dans un bouquin de 400 pages, ce n’est rien. Santé mentale vous dites ? Qui se dit  » furieuse ? » à maintes reprises  » prête à écraser » quiconque insultera la mémoire de son icône. Qui se fait appeler sa Majesté ? Qui prétend  » décapiter des auteurs » en proférant des menaces de mort sur son espace Facebook ? C’est extrêmement grave ce genre de déclaration. Le plus grave est la menace de mort. Je ne suis pas derrière tous mes lecteurs à regarder. E qu’ils écrivent pour me témoigner leurs soutien par contre Benjamin Warlop est votre ami de longue date et ce dont il se vante sur les réseaux sociaux est punissable d’une sévère peine de prison.

Olivia Legrand : Des menaces de mort ??? Vous inventez !!! Décapiter les idées de ces auteurs, nuance !!! Et je ne vous permets pas de m’appeler «ma pauvre petite». Vous vous prenez pour qui ?

Sophie Herfort : Il ne semble pas qu’il parlait des idées non non non…

Olivia Legrand : Il est vrai que des subtilités de ce genre ne peuvent que vous échapper. Nous vous attaquons uniquement d’un point de vue historique. Vous, vous attaquer personnellement. Aidée par votre ami Niko Vega qui fait réellement des menaces physiques.

Sophie Herfort : Ah c’est que vrai c’est subtil de menacer de « décapiter » des auteurs et de s’auto-proclamer « Majesté »…

Olivia Legrand : Moins pire que parler de «trifouiller le poireau» concernant Louis XVI. Vous vous fichez vraiment du monde !!! Vous me dites ne pas avoir suivi les échanges alors que vous venez de poster une photo, partielle et partiale, de cet échange !!! C’est plus que gonflé ! Mais cela ne fait que refléter votre manière de considérer les sources. Merci pour votre confirmation qui vous enfonce encore plus. J’attends que vous me contredisiez HISTORIQUEMENT ! Merci. Nous en étions avec Besenval et Campan. j’ai prouvé que vous avez tout mélangé et qu’en plus vous situez la scène dans une pièce qui ne sera créée que trois ans plus tard (bravo l’historienne de l’art ! je ne suis pas plus spécialiste d’architecture mais j’ai quand même des bases).

Le 8 juin 2021

Benjamin Warlop Pour revenir à mon pseudo de jadis, que j’ai emprunté dès ma contribution sur le site Passion-Histoire, je l’ai choisi en référence au début Des Années Lumières (1989) de Robert Enrico , lors du jeu dans le Salon de la Paix, c’est la répartie de Madame de Polignac à Marie-Antoinette à laquelle je faisais directement hommage ! Je ne prétends aucun titre de noblesse, mais avec Marie-Rose Demasy nous y avions affaire à des énergumènes de votre envergure, c’était donc une provocation de ma part. Qui fonctionne encore aujourd’hui on dirait. Alors vous relativisez sans difficultés les nuances des menaces de votre défenseur sans instruction, mais vous m’inculpez d’office pour des menaces qui n’existent pas de ma part. Un peu de bon sens, s’il vous plaît !

Niko Vega : Olivia Legrand «je ne menace personne physiquement j’ai juste expliqué à Benjamin Warlop qui se prend pour un noble que en effet les paroles sont faciles par contre en réel ce serait une autre limonade vous parler de Marie Antoinette mais a sont époque les nobles disaient demain à l’aube non?»
Benjamin en est loin

Olivia Legrand Vous vous fichez réellement de moi ??? C’est quoi ce truc ? Vous avez dit à Benjamin que vous alliez le mettre à genoux ! Et Benjamin Warlop ne s’est jamais pris pour un noble !

Sophie Herfort : Je pense que Niko voulait dire s’incliner (« mettre à genoux ») … Benjamin Warlop ne se prenait pas pour UN noble mais plus précisément pour le Roi. Tout cela devient rudicule. Débat stérile, je pense qu’il vaut mieux pour tous en rester là. Vous l’avez dit Mme Legrand…vous n’êtes pas convaincue mais n’en dégoûtez pas les autres.

Olivia Legrand Vous n’avez aucune idée pour comprendre pourquoi Benjamin s’est fait appeler Majesté. Ni pour se prendre pour un noble, ni pour le roi . Sophie Herfort Je comprends que vous souhaitiez mettre fin au débat puisqu’en effet vous ne faites que vous ridiculiser. Or moi je ne compte pas en rester là puisque dès que j’ai possibilité d’acquérir votre livre gratuitement, je me ferai un plaisir d’en descendre chaque erreur. Et chacune de vos interventions ne fait que renforcer mon souhait. ou préférez une source de 1822 alors que Besenval écrit au plus tard en 1791 !!! Donc non si je le suis lui il n’a pas été congédié. C’est Henriette qui l’affirme mais pour quoi aurait-elle davantage raison que Besenval bien plus concerné dans cette affaire ? Or en 1822, date de publication des mémoires de madame Campan, ni Besenval ni Marie-Antoinette n’étaient en mesure de la confirmer ou de la contredire. C’est bien facile… Je préfèrerais toujours prendre une source au plus près du moment des faits qu’une source écrite plus de quarante ans après, de la part d’une dame qui aura précédemment mieux que bien servi Napoléon et qui tente sous la Restauration de se montrer sous un jour fidèle. Ce qu’elle ne fut guère… Henriette Campan fut première femme de chambre en 1788. Pas en 1778. Femme de chambre ordinaire entre 1774 et 1788. Et on dit femme de chambre, pas dame. Aucun biographe sérieux de Marie-Antoinette ne prend pour argent comptant la bonne Henriette. Même pas Jean Chalon ! Vous ne m’avez donné aucune preuve, bien au contraire, vous m’avez prouvé qu’une fois de plus vous vous trompez. Vous ne m’avez donné aucune preuve, bien au contraire, vous m’avez prouvé qu’une fois de plus vous vous trompez. Pour rappel madame Campan raconte plein d’anecdotes dont elle ne pouvait être le témoin. Sur le cardinal de Fleury par exemple, mort en 1743 et elle née en 1752. Peut-on y prêter foi ? Elle raconte aussi la remise de Marie-Antoinette, selon elle mise toute nue. Faux encore. Elle ne pouvait assister à cette scène de par son simple rang de lectrice de Mesdames qui n’y étaient même pas présentes. Je peux continuer ainsi la longue liste de ses erreurs…

Sophie Herfort : Voilà de quelle façon les amis de Monsieur Warlop reprennent le flambeau pour « décapiter les auteurs » dixit Stéphane Baccarrère ! Et non pas « les idées » comme vous le disiez à tort Mme Legrand. Voici ce qu’on peut lire d’horrible sur sa page accessible au public. Une honte ! C’est un appel au meurtre.

Olivia Legrand : Je n’y vois pas du tout un appel au meurtre mais le fait que Benjamin vous a bien, historiquement, décapitée. Eliminée si vous préférez. Historiquement. Comme je le fais et comme je me régale de le faire. C’est trop facile avec vous. Comment voulez-vous rester crédible après toutes les erreurs cumulées de votre part ? Et je ne parle pas de votre mauvaise foi. En plus le mot décapité n’est pas de Benjamin Warlop. Vous montrez encore une preuve qui prouve le contraire de vos dires.

Le 9 juin 2021

Sophie Herfort Vous persistez à mentir impunément sur Besenval alors que la reine lui a bien asséné cette réplique après qu’il se soit fourvoyé : » Levez-vous Monsieur, le roi ignorera un tort qui vous ferait disgracier pour toujours ! ». Pas un mot sur cette intervention de Marie-Antoinette qui permet pourtant très clairement de comprendre que Besenval est congédié dès cet instant même s’il fera un retour « en grâce » par la suite. Pourquoi ce silence au juste Mme Legrand ?

Sophie Herfort Mais je ne me tais pas du tout là dessus ! Je vous répète depuis le début de l’après midi que cette réplique est issue des mémoires de madame Campan qui raconte cette histoire en 1822. Le baron de Besenval dont j’ai copié le texte plus haut dit qu’au contraire la reine lui a témoigné toute sa confiance. Texte écrit au plus tard en 1791. Vous avez donc choisi une source peu crédible. Comme vous n’êtes pas capable de vous relire, je comprends bien que vous ne soyez pas capable de me lire et encore moins me relire. Tant pis pour vous mais vous vous ridiculisez à me réclamer une source que je vous ai répété au moins cinq fois ces trois dernières heures.

Sophie Herfort Vous rigolez ? La source en question est fiable ! Madame Campan était comme vous le savez la première dame de chambre de la reine, comment pouvez-vous imaginer une seconde que ses témoignages soient sujets à caution ? 1822 est l’année de sa mort, voilà pourquoi ses mémoires sont tombés dans le domaine public ! Elle les avait rédigés bien avant cela !!! J’ai connu des gens de mauvaise foi mais alors vous… c’est à un stade exceptionnel !

Olivia Legrand Elle fut première femme de chambre en 1788. Pas en 1778. Femme de chambre ordinaire entre 1774 et 1788.

Sophie Herfort Donc si on vous suit, la 1ère femme de chambre de la reine raconterait des événements auxquels elle n’aurait pas assisté ? Dans quel but au juste ?

Olivia Legrand Et on dit femme de chambre, pas dame.

Olivia Legrand Aucun biographe sérieux de Marie-Antoinette ne prend pour argent comptant la bonne Henriette. Même pas Jean Chalon !

Sophie Herfort Et qu’est- ce qui vous fait penser qu’elle ne puisse être prise au sérieux ? Vous citez un journaliste romancier. Elle fut la 1ère femme de chambre de la reine ! Son témoignage à elle est crucial.

Benjamin Warlop Niko Vega a dit : » les nobles disaient demain à l’aube non? »
=> je ne procrastine jamais ?

Niko Vega à Olivia Legrand et Benjamin Warlop : Arrêter de parler chinois pour ma part ce sera demain à l’aube je pense que Marie Antoinette aurai apprécié………….

Héla Saïdi C’est honteux ! Les menaces de mort sont punies par la loi.

Stéphane Baccarrère : Dans cette discussion, Quelqu’un sait-il comment Marie-Antoinette est décédée ? J’en perds la tête.

Jacqueline Herfort Retrouvez la vite votre tête, pour lire l’excellent livre de Sophie HERFORT !!!!?

Benjamin Warlop à Jacqueline Herfort , vous ne manquez vraiment pas d’air, ma pauvre dame ! Crier encore à l’excellence alors que ce débat démontre une calomnie obscène, c’est de l’arnaque indécente !

Jacqueline Herfort à Benjamin Warlop c’était une petite boutade.. Seuls vos amis ont le droit de faire de l’humour. Décidément vous êtes très exclusif.

Benjamin Warlop Au temps pour moi, Jacqueline Herfort?

Sophie Herfort : Le problème c’est qu’on ne sait plus si c’est de l’humour macabre ou de vraies menaces ma chère Héla…

Le 10 juin 2021

Olivia Legrand : Et c’est vous qui parlez de ma mauvaise foi ? Personne ne vous a jamais menacée. Je vous attaque historiquement. Cela n’a rien à voir. Je ne manquerai pas de vous copier tous les passages de biographies de Marie-Antoinette où on vous dira noir sur blanc qu’il faut se méfier de la bonne Henriette prochainement. Vous m’excuserez d’avoir quelque peu la flemme de devoir faire le boulot que vous n’avez pas fait et d’attendre demain.

Olivia Legrand : Ce n’est ni moi ni Benjamin Warlop qui mentons, vous non plus d’ailleurs mais vous êtes juste complètement perdue à ne plus rien y comprendre. Évidemment puisque vous avez eu la prétention d’aborder une période dont il vous manque les bases. Vous cherchez désespérément à trouver des parades pour vous sauver mais cela vous ridiculise encore plus puisque vos défenseurs ne font que vous enfoncer (niveaux d’études, réelles menace de mort) et votre livre est truffé d’erreurs que vous postez vous-même. Et non dans un livre de 400 pages, il n’y a pas plus de cinq coquilles. Vous on ne les compte plus !

Sophie Herfort – A l’attention de Benjamin Warlop Vous osez insinuer que les mémoires d’Henriette Campan, 1ère femme de chambre de Marie-Antoinette seraient apocryphes ? Vous citez des auteurs XX e- XXI e tels que Emmanuel de Valicourt ou des journalistes romanciers biographes tels que *Jean Chalon (*référence d’Olivia Legrand) sans donner les sources qui invalideraient les mémoires précieux de Mme Campan qui pour les historiens font largement autorité ! Les auteurs écrivant à deux siècles d’intervalle n’ont pas du tout connu Marie-Antoinette. Aucun des deux n’est même historien de formation. Olivia Legrand cite un journaliste (Chalon) ! Vous avez tort et vous vous dédouanez encore une fois derrière des « paravents à mauvaise foi ». Comme d’habitude…La référence de Monsieur Campan guidant Besenval vers les appartements secrets de la reine figure dans les mémoires du favori concerné. Monsieur Campan s’adresse à lui pour le mener vers la reine : » Elle vous attend avec beaucoup d’impatience. »(cf. Mémoires de Besenval, Firmin-Didot Frères 1846 pages 59-69)Et dans les mémoires de Henriette Campan, le moment où la reine congédie Besenval est bien relaté, intervenant suite à un malentendu d’ailleurs. Le favori s’est épanché de façon excessive et a accusé une fin de non recevoir exemplaire de la part de Marie-Antoinette : » Levez-vous Monsieur, le roi ignorera un tort qui vous ferait disgracier pour toujours. »(cf Les Mémoires de Madame Campan sur la vie privée de Marie-Antoinette, Mercure de France. coll. Temps retrouvé, page 190)Les voici donc vos sources demandées ! Allez-vous encore les nier ? J’ai bien lu Valicourt…. et vous demande de bien vouloir sourcer vos références car ayant lu ce livre paru chez son 1er éditeur (Tallandier), je ne vois pas à quel passage vous faites référence, vous restez allusif sur le sujet…On voit mal comment un romancier journaliste tel que Jean Chalon ou un homme d’église, docteur en droit tel que Emmanuel de Valicourt pourraient à eux deux, quelques siècles plus tard venir apporter des éléments historiques nouveaux susceptibles de défausser la 1ère femme de chambre de la reine, soutenue par des contemporains de Marie-Antoinette tels que Jacques Peuchet qui apporte une caution morale infaillible à Mme Campan ! Où sont vos sources fiables d’ailleurs ? Monsieur de Valicourt avec sa belle plume, même si je le cite à titre occasionnel, n’a pas de Wikipedia et n’est pas historien de formation (seulement 2 livres édités à son actif). C’est cela vos références ??? Citez au moins des historiens confirmés ou des contemporains de la reine. Donnez donc des pages et au moins une citation car tout cela est bien flou sur la base de vos démonstrations insuffisantes. Quant aux mémoires de Madame Campan rédigés en 1814, je constate qu’il n’y a rien de suspect à ce qu’ils soient tombés dans le domaine public en 1822, date du décès de cette femme. Où avez-vous lu que ses mémoires seraient apocryphes ? Une référence stable peut-être ? Pour quelle raison cette femme de confiance au service de la reine mentirait-elle ? Cela n’a absolument aucun sens. Aucun.

Le 11 juin 2021

Benjamin Warlop à Jacqueline Herfort et Sophie. Effectivement, ça n’aurait aucun sens de considérer les sources de madame Campan comme apocryphes et je ne les ai jamais qualifiées de la sorte ! Ces mémoires sont simplement tardifs et ont un certain but de réhabilitation de celle qui fut la première femme de chambre de la Reine, mais qui a su sortir son épingle du jeu pendant le Premier Empire et aurait pu être considérée comme «collabo» ( notez les guillemets…) au moment du retour de Louis XVIII. Henriette avait donc besoin de signifier à l’excès sa proximité avec la Reine au point d’y révéler de faux détails (cf lors de la remise d’Antonia en France, ou lors des journées d’octobre 1789 ). Ses pages restent précieuses parce qu’aucunes ne les concurrencent pour certains points. Mais pour d’autres, on est en droit de se référencer à l’intéressé lui-même, Besenval en l’occurrence, plutôt qu’à elle. S’il avait manqué de respect à la Reine comme Lauzun, il aurait quitté l’entourage de la Reine. Or il est resté fidèle au Roi et et à la Reine jusqu’au bout. Ah… pour monsieur Campan, ce ne sont donc pas de nouvelles références. Seulement celles que nous connaissions. Tant pis. Olivia a cité Jean Chalon, non pas comme une référence véritable, mais comme un auteur qui aurait pu être tenté d’être léger dans certains sujets concernant Marie-Antoinette. Or, même lui ne se laisse pas avoir, contrairement à vous , Sophie. Vous dénigrez décidément encore Emmanuel de Valicourt, quelle manie vous avez avec le cursus des gens quand on voit ce que vous faîtes du vôtre, il a su recréer l’historique de Besenval sans tomber dans le panneau de Madame Campan. J’ai lu le même livre que vous: Les Favoris de la Reine (Tallandier). Merci de bien me lire avant de m’accuser de taxer tel document d’apocryphe (c’était une confusion, toujours, je sais, mais bon… ça grouille tellement dans vos propos qu’on en perd le fil ! ). Veuillez également modérer le ton péremptoire de vos réparties. Quand on considère votre livre, je ne vous pense pas bien placée pour garder cette hauteur présomptueuse. Dans la caricature que vous faites des robes de Marie-Antoinette, vous parlez des paniers de six mètres de diamètre … coquille, je présume encore? Cela ferait un périmètre de près de dix-neuf mètres…Ensuite, vous faites des chemises à la Reine des robes-nuisettes qui se retirent comme rien pour pouvoir assouvir ce qui sort de vos fantasmes… car il y a encore un anachronisme en voulant vêtir ces femmes de la douceur de vivre de l’Ancien Régime en Me’veilleuses… La chemise à la Reine se porte avec un corps souple et des jupons renforcés de crin pour étoffer l’évasement d’une manière que j’oserai qualifier de plus tendre que le galbe d’un polisson…

Olivia Legrand A l’attention de Sophie Herfort Je n’ai jamais dit non plus que les mémoires de madame Campan étaient apocryphes mais qu’il fallait s’en méfier. Comme toutes sources d’époque, à comparer et contextualiser. Benjamin Warlop a tout à fait expliqué pour quoi la s’agissant. Enfin j’ai cité Jean Chalon pour souligner que même lui, un des biographes les moins crédibles pour les raisons que vous avez effectivement évoquées s’en méfie. C’est dire. Apprenez au moins à lire.

Olivia Legrand à Jacqueline Herfort Trouvez moi un biographe de Marie-Antoinette qui se fie à madame Campan. Mission impossible. ?

Benjamin Warlop à Jacqueline Herfort , Sophie recommandait à Olivia de changer d’ami, forcément, j’ai trouvé ma voie de costumier au bout de trois ans de faculté, pourquoi poursuivre l’université qui est pourtant un bagage précieux dans l’absolu, mais en terme d’Histoire, je suis tout-à-fait autodidacte, et j’en suis assez fier présentement votre fille n’est pas un digne représentant de la Sorbonne… Allez, Jacqueline, un petit hommage à vous avec une citation de Christian Bobin :
«L’intelligence n’est pas affaire de diplômes. Elle peut aller avec mais ce n’est pas son élément premier.» Preuve est dans l’attitude de Sophie Herfort… qui est professeure de français? On conseillera donc à ses élèves de changer de prof : elle n’est pas apte à les corriger puisqu’elle ne sait lire correctement des sources, des dialogues, comment peut-elle lire des copies, et a fortiori les noter ?

Benjamin Warlop Sophie Herfort, vous faites du comte d’Artois le «faiseur» de toute une génération de la cour de France. A l’instar des enfants qui naissent en ce moment à la cour d’Angleterre, Charles d’Artois était un héritier présomptif du trône, comme le prouvera l’Histoire en 1824. Est-ce que vous imaginez une seconde, psychologiquement, que le benjamin du Roi aurait pris le risque de donner naissance à un Dauphin qui lui barrait cette route? Avez-vous du foutre dans les yeux à force d’écrire dessus? Votre raisonnement est grotesque, ridicule, inculte et prouve combien vous n’êtes qu’une touriste dans l’époque qui nous passionne tant, Olivia et moi, depuis toujours !

Olivia Legrand à Jacqueline Herfort A l’attention de Sophie Herfort Je n’ai jamais dit non plus que les mémoires de madame Campan étaient apocryphes mais qu’il fallait s’en méfier. Comme toutes sources d’époque, à comparer et contextualiser. Benjamin Warlop a tout à fait expliqué pour quoi la s’agissant. Enfin j’ai cité Jean Chalon pour souligner que même lui, un des biographes les moins crédibles pour les raisons que vous avez effectivement évoquées s’en méfie. C’est dire. Apprenez au moins à lire.

Jacqueline Herfort à Olivia Legrand Quelle condescendance.

Olivia Legrand C’est un comble pour des personnes qui ne jugent que par les titres universitaires !

Benjamin Warlop Pour vous consoler, Jacqueline, une petite illustration des actualités qui me fait songer au couple que Sophie et vous formez ici. Cela fera-t-il sourire Sophie de ressembler à son si cher Président ?

Jacqueline Herfort à Benjamin Warlop : Vous êtes sûrement instruit, et intelligent mais il y a une qualité qui vous manque, c’est l’élégance dans vos propos. Dire  » Avez vous du foutre dans les yeux à force d’écrire dessus ? « Pour moi, c’est synonyme de goujaterie. Vous n’avez pas la classe que vous devriez avoir en tant que membre d’une association dédiée à Marie Antoinette.

Jacqueline aura peut-être relu sa fille puisqu’elle a effacé ce message …

Benjamin Warlop à Sophie Herfort, dans votre espèce de manifeste homophobe qu’est le chapitre 47 de votre livre, intitulé «La Dette du Plaisir», vous vous plaisez à penser que Marie-Antoinette et Yolande de Polignac
1/ couchaient ensemble étant donné le caractère tendre de leur relation épistolaire, tu parles d’une preuve !
2/ auraient succombé à la même MST, type papillomavirus, si la révolution n’avait hâté la fin de la Reine…Songez-vous que Madame de Polignac avait quitté la France au «lendemain» du 14 juillet 1789, pour n’y plus jamais revenir. Ce 17 juillet les amies se quittaient pour toujours. Le docteur Souberbielle aurait-il pu administrer à la Reine une trithérapie du XVIIIe siècle? Soyons sérieux, votre supputation n’est que répugnante.

Le 13 juin 2021

Jacqueline Herfort de SOPHIE HERFORT A B. WARLOP : Que de mépris et d’insultes dans vos réponses. Je constate que vous ne vous excusez nullement pour vos propos infamants qui signeraient presque l’aveu puissant d’une personne de basse extraction sans la moindre notion d’éducation et d’une telle vulgarité que l’on doute par moments que cela puisse vous ressembler, tant cela ne colle pas à votre image initiale de personnage lisse, féru de belles toilettes. Je trouve Olivia Legrand un peu plus polie et éduquée que vous en tout cas. Après que vous soyez dans l’erreur concernant le fait que Besenval avait bel et bien été congédié, vous vous compromettez dans les lectures hâtives. Vous dites que si Besenval avait manqué de respect à la reine comme Lauzun, celui-ci aurait quitté l’entourage de la reine. Une conjecture là encore alors que toutes les preuves ont été présentées dans mes précédentes justifications ?Henriette Campan que l’on peut aussi appeler « Madame », ne vous en déplaise, même s’agissant d’une femme de chambre et d’autant plus après la Révolution Française, n’aurait eu aucune raison de mentir sur le passage qui nous occupe. Vous ne voulez toujours pas admettre vos torts. Au lieu de cela, vous m’invectivez de plus belle. Vous parlez de quoi ? De « foutre dans l’œil » ? Pensez-vous pouvoir raisonner sans insultes et ne soulever ou opposer que des contre-arguments construits, ce qui est le propre d’une personne qui raisonne ad hominem? Pas d’attaques ad personam SVP, je vous remercierais d’avoir l’obligeance de rester dans le cadre d’un débat sain et courtois si naturellement votre sens du respect vous y autorise mais à la réflexion, je crois bien que je vais cesser de surenchérir avec un rageux tel que vous mais quelques points à éclaircir tout de même…Tout d’abord mon livre n’aborde pas uniquement la période de l’Ancien-Régime, il n’y a aucun anachronisme dans le passage concernant Elise Lange bien connue pour avoir été une Merveilleuse sous le Directoire. Vous portez des jugements impérieux sans même vous donner la peine de lire un extrait convenablement, comment vous prendre au sérieux après cela ? Si vous aviez lu correctement la lettre de Duras (enchères de Toulon), vous auriez peut-être compris que vous étiez encore une nouvelle fois dans l’erreur. Cette Merveilleuse du Directoire désigne bien Elise Lange, personne d’autre. C’était bien une Merveilleuse, réputée séduire les bons partis, une artiste, une femme extrêmement intrigante qui s’est même essayée vainement à tenter de séduire Napoléon 1er lui-même. J’ai eu l’occasion à maintes reprises d’échanger avec Marie-Bénédicte Diethelm, une femme chercheure émérite et extrêmement instruite, spécialiste de Duras par ailleurs. Ce qu’elle m’apprend à travers les monographies d’Elise Lange qu’elle m’a envoyées, est tout à fait clair sur les habitudes de vie de la dame. Amédée de Durfort Duras n’était pas du tout un mari fidèle, il aimait les intrigantes, même à un âge avancé…Elise Lange est donc citée à la fin de l’ouvrage quand nous quittons l’Ancien-Régime pour conclure par cette lettre achetée récemment aux Enchères de Toulon en 2014 et qui annonce en conclusion ce qu’est advenu Amédée de Durfort Duras. J’évoque sa ressemblance physique avec Mme de Polignac. Je cherche à comprendre votre problème de compréhension, auriez-vous pensé à tort que je parlais de la favorite quand j’évoquais les Merveilleuses ? Les passages de mon livre sont pourtant clairs, il me semble :« Elise Lange est une Merveilleuse, une salonnière… » (p312)« […] Elise Lange Simons le ramenait à tous ces temps de décadence et d’amours faciles. Cette Merveilleuse du Directoire avec son visage d’ange lui rappelait-elle aussi la célèbre Polignac ? ». (p.316)Je précise juste que la gaulle en percale de la reine aurait inspiré plus tard les Merveilleuses du Directoire. Où est l’anachronisme ? Vous comprenez tout de travers mais volontairement je pense. Marie-Antoinette allait […] lancer la mode des robes mousselines […] qui inspireront un peu plus tard les Merveilleuses du Directoire. (p.304) . Dans mon essai, seule Elise Lange est appelée « Merveilleuse », vous vous égarez dans de vaines conjectures quand vous parlez encore et toujours d’anachronismes ! Encore une preuve, parmi tant d’autres que vous vous trompez. Vous sortez les choses de leur contexte pour les interpréter à l’aune de vos envies irrationnelles afin de prouver que j’ai tort. Vous vous donnez beaucoup de mal pour rien. S’il fallait vous dénigrer salement comme vous le faites à chaque fois que vous « lisez » de la mauvaise façon…Je crois d’ailleurs que les insultes sont sans intérêt. Pas vous ? Concernant, Emmanuel de Valicourt que j’estime à sa juste mesure, je le trouve intéressant même si un peu balbutiant dans ce domaine qui n’est pas le sien d’ailleurs, je n’ai toujours pas saisi à quel passage de son livre vous faites référence bien que cette question vous ait été posée dans le message précédent. Vous ne donnez nulle citation qui pourrait peut-être m’éclairer sur le fait qu’il contesterait la véracité des souvenirs contenus dans les mémoires d’Henriette Campan. Il faut être clair sur la question des mémoires. Vous dites tous les deux que ceux-ci ne sont pas fiables (OK pas apocryphes pour autant). Je vous rappelle une énième fois que ceux-ci sont tombés dans le domaine public en 1822. Serait-ce dû au fait que le contenu vous semble contestable car rédigés tardivement (1814) ? C’est un point important à trancher. Pourquoi contestable, juste à cause d’une date tardive dont j’ai par ailleurs donné l’explication. Si cette femme n’a pas souhaité publier ses mémoires de son vivant, il est donc normal qu’à sa mort, ses ayants-droit le fassent à sa place. 1822 constitue la date de son décès. Même chez une femme âgée, la mémoire ne chancelle pas au point de faire oublier les anecdotes de vie d’une personne si proche de la reine au demeurant. Question posée à Olivia, et concernant l’auteur Chalon, pourquoi le citer s’il n’a pas de légitimité historique ? Je ne saisis pas. Mieux vaut ne pas le citer du coup, plutôt que d’en faire un exemple. Henriette Campan est citée dans bon nombre d’ouvrages de références, contrairement à ce que vous affirmez. Je n’ai lu nulle part que ses mémoires étaient faillibles. Concernant les robes dites « accoudoirs » ou le grand habit que la reine portait, toutes ces toilettes pouvaient être très imposantes ! Je vous assure qu’il existe bien des robes à grands paniers allant jusqu’à six mètres de diamètre. La toile pouvait mesurer jusqu’à 27 mètres ! Le grand habit nécessitait entre 24 et 27 mètres de tissu. (cf. Catalogue sur les Fastes de Cour, 280 pages, RMN). La reine les a très peu portées sauf vers les années 1770, elle ne les affectionnait pas, lui préférant très vite les robes à la polonaise jugées moins encombrantes et plus tard les fameuses gaulles transparentes que j’appelle effectivement « nuisettes » en raison de leur légèreté et de la matière vaporeuse, translucide et afin d’adapter ce type de vêtement à un contexte plus actuel. Vous auriez préféré que je nomme ce vêtement « la chemise » ? Ainsi que les ennemis de cet accoutrement l’appelaient depuis le scandale de 1783 avec cette peinture de Vigée Le Brun représentant la reine dans cette tenue jugée ultra choquante à l’époque ! Vous auriez préféré le mot « gaulle » à la place de « nuisette », peut-être ? Contrairement à vous, je pense au lecteur lambda qui n’est peut-être pas un expert costumier tel que vous, cependant, le mot «gaulle » ressort très souvent dans mon ouvrage. Voilà, je pense que nous sommes d’accord pour établir le fait que rien de ce que j’écris ne trouve grâce à vos yeux, je ne vois pas l’utilité de poursuivre, nous n’arriverons jamais à partager quoique ce soit de commun ni dans les références, ni dans les convictions. Essayons de clore dans le respect ce débat stérile. Soyons clairs. Vous n’êtes là que pour attaquer, lyncher et non pas échanger. Je trouve tout cela ennuyeux et lassant à force. Je n’ai plus envie de relever vos inepties et autres propos peu engageants. Je vous laisse à votre haine, vos enfantillages avec les posts photos des époux Macron et à vos clichés caricaturaux mais aussi à vos futures insultes et calomnies qui sont le propre d’un homme dont le niveau intellectuel justifie qu’il reste autodidacte toute sa vie. Je n’ai jamais connu de chercheurs insultants. Je prends congé de votre esprit inquisiteur qui ne m’atteint pas. Désormais, vous monologuerez.

Benjamin Warlop à Jacqueline Herfort , Sophie ! Je suis d’accord avec votre analyse, mon expression était volontairement teinte de goujaterie… puisque adaptée aux propos que vous tenez au sujet de Marie-Antoinette, Louis XVI (surtout) , Madame de Polignac et tous ceux que vous évoquez. Comment pouvez-vous placarder ma seule expression vulgaire et ne pas vous être rendue compte de la vulgarité omniprésente dans votre livre? Cela a vraiment lieu de me sidérer ! Du mépris, j’admets en avoir pour vos propos. De l’insulte? c’est l’hôpital qui se fout (oups) de la charité ! Dieu me préserve d’être un «personnage lisse», je vous remercie donc pour votre compliment de ne point me trouver tel !
«Henriette Campan que l’on peut aussi appeler « Madame »», forcément , elle est mariée à Monsieur Campan !
«Pas d’attaques ad personam SVP», relisez-vous, on en reparlera… ah non, vous vous tairez, et pour cause ! «Vous portez des jugements impérieux sans même vous donner la peine de lire un extrait convenablement»  Vous, vous lisez mal les livres, mais vous lisez mal ce débat aussi ! Mademoiselle Lange n’est-elle pas un des personnages de La Fille de Madame Angot de Charles Lecocq? J’en ai vu une charmante mise-en-scène au Théâtre Déjazet… Non, je ne la confonds pas avec la favorite. C’est dans votre façon de porter et retirer la robe en chemise que je vous critique…
Lisez ? «Je crois d’ailleurs que les insultes sont sans intérêt. Pas vous ?», nous ne cessons de vous le dire depuis les interventions de Niko Vega, votre Chérubin, je présume?
«Concernant, Emmanuel de Valicourt que j’estime à sa juste mesure, je le trouve intéressant même si un peu balbutiant dans ce domaine qui n’est pas le sien d’ailleurs, je n’ai toujours pas saisi à quel passage de son livre vous faites référence» : il faut vous tourner les pages ou quoi? Olivia et moi faisons dans la relecture de votre livre, un travail que vous n’avez pas fait, alors de grâce, un peu d’effort, quand même !
«Je vous rappelle une énième fois que ceux-ci sont tombés dans le domaine public en 1822».
Eh alors? Tout ce qui se trouve aux archives est forcément vrai? Et puis si l’on dit, aujourd’hui , dimanche 13 juin 2021, que Macron et Mélenchon sont amants… Une Sophie Herfort de 2251 lira cela et le proclamera comme une vérité puisque ça a été écrit par un contemporain de ces politiques? Le recul et la vérification, ça vous parle? Je ne lis jamais Wikipédia sans vérifier les informations que j’y trouve.
«La toile pouvait mesurer jusqu’à 27 mètres ! Le grand habit nécessitait entre 24 et 27 mètres de tissu. (cf. Catalogue sur les Fastes de Cour, 280 pages, RMN)»… je suis d’accord ! Mais c’est pour réaliser la traîne … songez que celle de la robe de mariage de Marie Lezczynska mesurait … dix-neuf mètres de long… à vérifier, je parle de mémoire. Cela diminue l’envergure des jupes quand on sait cela.
«Vous auriez préféré que je nomme ce vêtement « la chemise » ? », ben oui, c’est son nom : chemise à la Reine!
«Vous auriez préféré le mot « gaulle » à la place de « nuisette», peut-être ?», ça non ! Sylvie Le Bras-Chauvot m’a dit que c’était le nom par lequel les anglais la nommait par dérision.
«le mot «gaulle » ressort très souvent dans mon ouvrage», vous auriez peut-être dû éviter, justement ? «Voilà, je pense que nous sommes d’accord pour établir le fait que rien de ce que j’écris ne trouve grâce à vos yeux», Là , nous sommes tout-à-fait d’accord !!!
«Vous n’êtes là que pour attaquer, lyncher et non pas échanger», là vous dénigrez toutes les références que nous vous avons transmises. Ne pas échanger, c’est vous qui avez choisi de le faire en me bloquant sur FB, assumez !
«Je vous laisse à (…) à vos futures insultes et calomnies qui sont le propre d’un homme dont le niveau intellectuel justifie qu’il reste autodidacte toute sa vie.» Il ne faut pas confondre, ma petite, la calomnie, c’est vous qui l’avez pondue !
«Souvenez-vous qu’on n’emploiera pas un grain de poison contre moi . Les Brinvilliers ne sont pas de ce siècle-ci: on a la calomnie qui vaut beaucoup mieux pour tuer les gens ; et c’est par elle qu’on me fera périr.» a dit Marie-Antoinette à madame Campan.
Notre exercice, dans le présent débat est de ne pas vous permettre d’assassiner à nouveau Marie-Antoinette !
«Je n’ai jamais connu de chercheurs insultants», en avez-vous connus tout court, à part Marie-Bénédicte Diethelm?
« Je prends congé de votre esprit inquisiteur qui ne m’atteint pas» d’où ces messages de répartie… Un peu de cohérence. De toute façon, j’ai soumis votre quarante-septième chapitre à SOS-homophobie et Komitid, ce n’est donc plus avec moi que vous aurez à échanger. Je vous souhaite un bon dimanche !

Jacqueline Herfort No comment.

Le 15 juin 2021

Sophie Herfort passe sur RTL, aux Grosses Têtes, pour faire l’apologie de son livre auquel nul ne porte crédit : Laurent Ruquier la congédie en évoquant les éditons « Rien n’est prouvé« .

https://www.rtl.fr/programmes/les-grosses-tetes/7900045356-le-livre-du-jour-mardi-15-juin-2021

Olivia Legrand Sophie Herfort Je suis ravie d’apprendre de votre bouche que vous considérez Benjamin Warlop et moi-même comme des historiens professionnels. Vous venez de dire que ceux-ci vous attaquent. Or vous m’avez affirmé le contraire ici même, qu’ils vous défendaient. Donc soit vous parlez bien de nous, soit vous nous avez menti et que donc notre combat rejoint des historiens professionnels. Notre combat est donc légitime. Merci.

Benjamin Warlop Et y évoquer comme preuve de vos assertions, Sophie Herfort, le Pèlerinage à l’Île de Cythère que Watteau a peint en 1717, pour parler du règne de Louis XVI a fini d’achever votre crédibilité. Vous les avez fait rire malgré vous, et Laurent Ruquier vous a congédiée en évoquant les éditons «Rien n’est prouvé». Bravo à vous pour votre prestation !

Le 16 juin 2021

Benjamin Warlop J’ai une requête à faire à la maison d’éditions Document City : à l’instar d’un plat de restaurant qui ne nous satisfait pas nous ne sera pas facturé, parfois… Le livre de Sophie Herfort ne correspond en rien à ce qu’elle m’a vendu de ses recherches inédites. Si elle avait été honnête, jamais je n’aurais fait cet investissement inutile car de ce livre, il n’y a strictement RIEN à retenir. Dans ce cas, se pourrait-il qu’on me rembourse ce livre, puisque je suis très insatisfait de ce que j’ai lu il y a exactement deux semaines et suis furieux du fond calomnieux (et donc mortel pour Marie-Antoinette (cf la citation de madame Campan), répugnant de stupre anachronique (la Sophie se base sur des documents de la Régence pour placer des orgies sous Louis XVI) et d’homophobie (ce qui est illégal depuis 2020). J’espère être entendu dans ma requête qui est juste une question de principe…

Le 22 juin 2021

Benjamin Warlop Pour découvrir vraiment la vie de Marie-Antoinette, plongez-vous dans Marie-Antoinette, l’Insoumise de Simone Bertière ou Marie-Antoinette l’Affranchie de Sylvie Le Bras Chauvot … mais de grâce ne choisissez pas de lire ce livre !
«Souvenez-vous qu’on n’emploiera pas un grain de poison contre moi. Les Brinvilliers ne sont pas de ce siècle-ci: on a la calomnie qui vaut beaucoup mieux pour tuer les gens ; et c’est par elle qu’on me fera périr. » a dit Marie-Antoinette à Henriette Campan, sa femme de chambre…

Ne permettez pas à Sophie Herfort d’assassiner à nouveau Marie-Antoinette ! Ne lisez pas ce livre !

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