« La scène de l’orangerie, sur laquelle depuis 1776 on donnait la comédie au Petit Trianon, n’était qu’un bâti de planches, de toile et de carton, sans machines ni dessous, sans dépendances pour le service des acteurs dont les foyers se trouvaient dans la ménagerie. La reine aimait trop les spectacles pour se contenter d’une …
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